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Channel: Nécrologie
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Marie-Thérèse Dumas

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née Aeby, Le Crêt

Dans la nuit du 29 mai dernier, Marie-Thérèse Dumas nous a quittés. Elle était dans sa 85e année. Un dernier hommage lui a été rendu le lundi 2 juin en l’église du Crêt. C’est dans ce même village qu’elle a passé toute son existence. Elle est née le 21 août 1929 dans la ferme des Aubachères. Le 11 avril 1958, elle a épousé Martin Dumas et s’est alors installée dans la ferme de Brémudens. Elle a eu le bonheur de mettre au monde et de voir grandir neuf enfants. Au fil des années, la famille s’est amplifiée avec la naissance de 14 petits-enfants et de 7 arrière-petits-enfants. Marie-Thérèse Dumas était une maman et une grand-maman particulièrement dévouée et attachée à ses proches. Elle aimait par-dessus tout chérir ses petits-enfants et passer du temps avec eux. Deux de ses filles étant parties au Canada dans les années 1980, elle n’hésita pas à faire le voyage, à plusieurs reprises, pour leur rendre visite. Elle accordait aussi beaucoup d’attention à ses petits-neveux et nièces et la perte de l’un d’entre eux, William, fut pour elle une immense douleur. Sa vie fut bien remplie. Marie-Thérèse seconda son mari sur l’exploitation agricole, travail qu’elle effectuait courageusement, mais avec une gran­de satisfaction. Elle aimait jardiner, élever des lapins. Tricoter pour ses enfants était un hobby qu’elle s’accordait pendant l’hiver. En septembre 1994, elle eut le chagrin de perdre son mari. C’est à ce moment-là que son fils Jean-Pierre reprit l’exploitation. Depuis lors, elle œuvrait à ses côtés. Ayant à cœur de garder la famille unie, elle continua à réunir les siens chaque année lors des fêtes de famille. En 2011, une amie l’invita à se rendre à Lourdes pour un pèlerinage dont elle garda un très beau souvenir. De nature solide et en bonne santé, Marie-Thérèse Dumas est restée active jusqu’au dernier jour. Sa vie s’est terminée sur une note agréable, car elle a eu la joie de participer à la fête des musiques du village. Elle laisse le souvenir d’une personne discrète, aimante et dévouée. Que sa famille, ses proches et tous ceux qui pleurent son départ trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU


André Ecoffey

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Bulle

André Ecoffey s’en est allé dans la nuit de lundi à mardi. Il cheminait dans sa 77e année. Un dernier hommage lui est rendu ce jeudi après-midi en l’église de Bulle. André Ecoffey est né le 31 août 1937 dans le foyer d’Henri et Emma Ecoffey à Villars-sous-Mont. Il était le troisième enfant d’une fratrie de cinq. Son papa était agriculteur. André passa tous les étés de son enfance à l’alpage. Après sa scolarité obligatoire et l’école secondaire, il entreprit un apprentissage d’ébéniste. Très habile de ses mains, il se mit à son compte et créa l’entreprise Ecosa, en 1961, à Villars-sous-Mont. Cette même année, il unit sa destinée à Eliane Noll. Le couple eut quatre enfants, mais il eut la douleur d’en perdre deux en bas âge. Par la suite, sa fille Isabelle et son fils Raphaël élargirent le cercle familial en donnant naissance à sept petits-enfants. André s’engagea dans sa commune. Il siégea durant une vingtaine d’années au Conseil communal de Villars-sous-Mont, dont dix ans comme syndic. En 1989, André eut la douleur de perdre son épouse Eliane. Peu de temps après, il quitta Villars-sous-Mont pour s’installer à Bulle. Cela ne l’empêchait pas d’avoir à cœur de se rendre tous les jours dans l’entreprise qu’il avait fondée. La société familiale a été reprise par son fils Raphaël au début des années 1990. André avait aussi une grande passion pour les cartes et il était un fin joueur. Ces derniers mois, son état de santé s’est détérioré, mais sans laisser présager une fin aussi subite. André laisse le souvenir d’un homme franc et travailleur. A ses enfants, à sa famille, à ses amis et à tous ceux que le départ d’André Ecoffey plonge dans la peine, La Gruyère dit sa sympathie émue. GRU

Edith Menoud

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née Pittet, La Joux

Edith Menoud s’est endormie le 9 juin dans sa 80e année. Un dernier hommage lui sera rendu en l’église de La Joux ce mercredi. Edith est née le 22 novembre 1934, avec sa sœur jumelle Jeanine décédée quelques jours plus tard, de l’union de Joseph Pittet et Sidonie Grandjean. Elle grandit avec ses frères Marcel et Eugène. Elle avait quatre ans quand son père décéda. Le travail à la ferme devenant alors trop difficile pour sa mère, c’est son oncle Fidèle Grandjean qui vint l’épauler à la ferme Villagerman. A 15 ans, Edith partit au couvent d’Ingenbohl, puis à l’abbaye de St-Maurice, pour aider à la cuisine. A son retour, elle travailla au Café du St-Georges, à Romont, puis à la Civette, à Bulle, en passant par la Coop, à Vaulruz. En 1956,  son frère Marcel décéda dans un accident de moto. En 1963, elle épousa Sylvain Menoud. De cette union naquirent trois fils, Guy, Joël et Dominique. En 1965, le couple reprit le Café-restaurant de La Joux. Edith travailla sans relâche pour mener de front ses activités de restauratrice, de maman et d’épouse. Après plus de dix-neuf ans passés au Café de La Joux, elle décida de tourner la page. Toujours prête à écouter et à aider son prochain, elle se mit au service du Foyer St-Joseph, à Vuisternens-devant-Romont. A l’âge de 58 ans, elle commença à conduire. Son auto lui permit alors de se déplacer pour aller à la messe, apporter du réconfort en visitant les malades ou participer aux lotos. Les valeurs familiales étant très importantes pour Edith, c’est avec bonheur qu’elle devint grand-mère. Elle aimait cuisiner et se réjouissait de retrouver toute sa famille autour d’une table de fête. Croyante, elle allait se recueillir au cimetière, rendre hommage à Marguerite Bays et visiter la chapelle des Marches, lieu de son mariage. Elle fit aussi des voyages à Lourdes et à Rome. Elle eut la douleur de perdre son époux en 1995. Mais jamais elle ne s’est plainte de son sort, se dévouant pour sa famille et ses proches. Durant ces deux dernières années pourtant, les douleurs devinrent si difficiles à supporter qu’elle ne put plus les cacher, perdant peu à peu sa mobilité et son autonomie. A tous ceux qui pleurent la disparition d’Edith Menoud, La Gruyère dit sa sympathie émue. GRU

Marcel Oberson

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Bossonnens

Le 6 juin, Marcel Oberson s’est éteint soudainement à son domicile de Bossonnens. Né le 19 décembre 1943, Marcel avait un tempérament de leader et n’envisageait pas la vie sociale sans qu’il y participât activement.  
C’est à Bossonnens, en Belle-Rose, qu’il passa la plus grande partie de son enfance, de son adolescence, puis ses premières années de mariage avec son épouse Gisèle. Le couple s’installa ensuite au Bourg-Neuf, où il vit grandir ses deux enfants Céline et Florian. Electricien de profession, Marcel accomplit une grande partie de sa carrière professionnelle chez Schulthess, comme installateur-réparateur. Très impliqué dans le monde associatif et sportif, il fut joueur, puis très rapidement un des dirigeants du FC Bossonnens – il en fut même le président. Marcel fut surtout un membre éminent du Club des lutteurs de Basse-Veveyse et de l’association fribourgeoise. Il répondait toujours présent aux associations pour lesquelles il œuvrait, tant et si bien que ses équipiers avaient quelquefois de la peine à suivre. Son parcours professionnel et associatif l’amena tout naturellement à s’intéresser à la chose publique et il fut, pendant plus de vingt ans, conseiller communal à Bossonnens, sous la bannière socialiste. Il mit sa force de travail et de conviction au service de son idéal du bien public. Marcel fut un des animateurs du groupe des contemporains de 1943 et les nombreux voyages qu’il fit avec eux lui laissèrent de merveilleux souvenirs et une meilleure compréhension du monde. A la retraite depuis quelques années, il continuait, en tant que bénévole, à être au service des gens à qui il apportait les repas à domicile. A son épouse, à ses enfants, à ses pro­ches et à tous ceux qui l’ont aimé, La Gruyère témoigne sa sympa­thie. GRU

Gilbert Cottet

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Bossonnens

Gilbert Cottet est décédé jeudi passé à la villa Saint-François, à Villars-sur-Glâne. Il cheminait dans sa 77e année. Un dernier hommage lui a été rendu mardi en l’église d’Attalens. Gilbert Cottet est né à Bossonnens dans le foyer de Paul et Marie-Louise Cottet-Vienne. Il était le cinquième d’une fratrie de sept enfants. Gilbert, dit Bouby – surnom qui lui allait si bien – suivit toute sa scolarité dans son village. Il fit partie de différentes sociétés, notamment de la fanfare et de la jeunesse. Il y fit également du théâtre. Se sentant attiré par la terre, il travailla avec son père sur le domaine familial de La Fin, qu’il reprit en 1966. Il y mit tout son amour et son savoir-faire pendant une vingtaine d’années. Bouby était un amoureux de la nature et des animaux, tout spécialement ses chevaux qu’il aimait tant et qu’il était si fier d’emmener dans les expositions. Il fut aussi président du syndicat chevalin. Ensuite, Bouby prit une autre direction, avec courage et persévérance. Il s’engagea dans une entreprise de mécanique de précision, à Puidoux. Là encore, il fut très apprécié pour son travail, sa ponctualité et son savoir-faire. Bouby a eu le bonheur d’avoir cinq enfants et six petits-enfants. Après une vie de labeur, il a pris une retraite bien méritée. Depuis 2012, Gilbert Cottet était atteint dans sa santé. Malgré un moment de répit et après deux semaines d’hospitalisation et dix jours passés aux soins palliatifs, il s’est éteint paisiblement. A ses enfants, à sa famille, à ses amis et à tous ceux que le départ de Gilbert Cottet laisse dans la peine, La Gruyère témoigne sa sympathie. GRU

Robert Overney

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Charmey

Robert Overney s’est éteint lundi dernier à l’hôpital de Riaz, quelques jours après son 77e anniversaire. Un dernier hommage lui a été rendu mercredi passé en l’église de Charmey. Robert est né le 1er juin 1937 dans le foyer de Louis et Lucie Overney à Charmey. Il était le deuxième enfant du couple. Son père étant agriculteur, c’est tout naturellement que Robert suivit cette voie sitôt après sa scolarité obligatoire accomplie. Avec son frère Georges, il reprit l’exploitation familiale de la Chenaux. Robert était un passionné de mécanique, mais il était également très habile dès qu’il fallait utiliser la faux sur les nombreuses pentes de l’exploitation. Tous les étés, depuis de nombreuses années, le bétail estivait à l’alpage du Ganet d’Avau où, matin et soir, Robert se rendait avec son frère pour la traite. Jusqu’à sa retraite, Robert vécut dans la ferme familiale. Il partageait ses repas avec ses proches et participait également aux fêtes de famille. Robert Overney n’avait connu aucun souci de santé majeur jusqu’au 22 avril de cette année où il avait dû être hospitalisé d’urgence et subir une importante opération. Après un mois d’hôpital, il avait pu regagner son domicile. Mais douze jours plus tard, son état de santé s’est détérioré sans pour autant laisser présager une fin aussi subite. Robert laisse le souvenir d’un homme franc, travailleur et serviable. Que sa famille et ses proches trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Marie-Thérèse Schuwey

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née Pillonel, Charmey

Marie-Thérèse Schuwey-Pillonel s’est éteinte paisiblement le 31 mai, entourée des siens. Elle était dans sa 83e année. Un dernier hommage lui a été rendu le 3 juin en l’église St-Laurent, à Charmey.
Marie-Thérèse, dite Titie, est née le 8 septembre 1931 à Charmey, dans la famille d’Oscar et Clara Pillonel. Elle était la sixième d’une fratrie de sept enfants. Elle fréquenta l’école primaire dans son village et partit ensuite une année au pensionnat d’Ingenbohl.
Son activité professionnelle débuta dans un commerce à Fribourg en tant qu’employée de maison durant dix-huit mois et se dirigea par la suite vers l’hôtellerie, d’abord à l’Hôtel de Fribourg, à Fribourg, puis à l’Hôtel de Ville, à Bulle.
En 1951, Titie rencontra son futur époux, Oswald Schuwey, alors qu’il suivait un cours de répétition au chalet du Régiment, comme chef de cuisine. Le mariage fut célébré le 6 juillet 1953 et, le 1er janvier 1955, Oswald et Titie reprirent l’Hôtel de la Cascade, à Jaun. La famille s’agrandit avec la naissance de leurs deux filles.
En 1964, le couple acheta l’Hôtel du Sapin, à Charmey, qu’il s’empressa de rénover afin de pouvoir accueillir les banquets et les mariages, ainsi que les colonies et les militaires. Titie sut seconder son époux et tous deux purent agrandir leur établissement en cons­truisant le dancing Le Derby. Ils exploitèrent l’Hôtel du Sapin jusqu’en 1985. Durant cette retraite bien méritée, Titie a profité de choyer ses trois petits-enfants.
En 2001, le couple déménagea au Village d’Enhaut, dans la maison de deux appartements qu’il avait cons­truite. Dès lors, ces amoureux de la nature et de la montagne se sont adonnés à la randonnée en été, accompagnés de leurs amis, et au ski de fond en hiver. Parmi les autres passions de Titie figuraient les fleurs, ainsi que les parties de cartes et les concerts.
Ces deux dernières années furent rendues pénibles par des problèmes de santé. Titie dut être hospitalisée le 6 avril dernier, avant d’entrer au Home de la vallée de la Jogne le 7 mai.
Que son époux, sa famille et ses proches trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

 

Albert Klingshirn

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Bulle

Albert Klingshirn est décédé le 7 juin à l’hôpital de Riaz où il était hospitalisé depuis le début du mois d’avril. Un dernier hommage lui a été rendu le 12 juin en l’église St-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Albert est né le 26 septembre 1928 à Nuremberg, en Allemagne. Il grandit au sein d’une fratrie de sept enfants, dont il était le seul garçon. Il fit ses écoles à Landshut. Alors qu’il avait 11 ans, la guerre éclata. Il en garda longtemps des traumatismes. Même plus tard, alors qu’il vivait en Suisse, il en souffrait encore.
Albert fit un apprentissage de ferronnier d’art à Landshut et, après la guerre, il vint en Suisse et pratiqua son métier dans l’entreprise de Willy Brandt. Et c’est à Bulle, où il s’établit définitivement, qu’il rencontra sa future épouse, Juliette Repond. De leur union, en mars 1953, naquirent trois filles qui furent sa fierté et son réconfort.
Son métier fut aussi sa passion. Il créait avec bonheur de belles œuvres en fer forgé, dans un garage transformé en atelier. Il fonda sa propre entreprise, à la route de Morlon, où ses affaires se développèrent rapidement. Mais, à la fin des années 1970, avec la crise dans la construction, il dut se résigner à la vendre. Il retourna alors travailler chez  son ancien employeur, jusqu’à sa retraite.
A la ville de Bulle, au canton de Fribourg et à une partie de la Suisse romande, Albert a laissé un nombre impressionnant de constructions et d’œuvres en fer forgé.
Il aimait la vie et les belles choses. C’était un sportif accompli qui emmenait volontiers ses filles pour les initier à la randonnée en montagne et aux divers sports qu’il pratiquait.
En 1987, il eut le grand bonheur de devenir grand-père d’un petit-fils qu’il chérissait et dont il aimait partager les jeux et les activités en plein air.
Les dernières années de sa vie, sa santé s’était détériorée, il était physiquement diminué, mais il se promenait toujours à Bulle où il aimait rencontrer ses concitoyens. A ceux qui l’ont connu, Albert laisse le souvenir d’un homme passionné par son travail, généreux et toujours prêt à rendre service à ceux qui le sollicitaient.
A tous ceux qui pleurent la disparition d’Albert Klingshirn, nous disons notre sympathie émue. GRU

 


Pacifique Gendre

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Crésuz

Pacifique Gendre s’est éteint le 14 juin, dans sa 91e année. La messe du dernier adieu sera célébrée en l’église de Crésuz, demain mercredi.
Pacifique vit le jour le 10 novembre 1923 à Neyruz, dans la ferme familiale. Il était le quatrième des sept enfants de Joseph et Célina Gendre, née Morel.
Il fréquenta l’école primaire du village jusqu’à ses 12 ans. Puis, à l’âge de 14 ans, il partit pour le lycée de Thoissey, en France, où il obtint un baccalauréat latin grec en 1943. Cette année-là, il revint en Suisse pour travailler comme secrétaire au parc automobile de l’armée de Romont. En 1950, il obtint le diplôme de comptable correspondant. Il œuvra alors chez Chiavasaz, à St-Prex.
Il réorienta ensuite sa carrière vers l’enseignement. Pacifique décrocha son brevet de capacité pour l’enseignement primaire dans le canton de Fribourg en juillet 1955. Son premier poste, il l’occupa à l’école primaire de La Valsainte, à la fin de l’année 1954. Puis il reprit l’école primaire de Châtel-sur-Montsalvens/Crésuz à l’automne 1959. Pacifique ne quitta ce poste qu’à sa retraite, en 1989. Durant toute sa carrière de régent, il assura la direction du chœur mixte La Fauvette et le poste d’organiste à l’église de Crésuz.
Il épousa Gabrielle Ettlin en 1959. De cette union naquirent deux fils: Luc en 1960 et François en 1963. En 1978, la famille construisit une petite villa à Crésuz, le village où Pacifique résida jusqu’à sa mort.
Lorsque son épouse tomba malade et devint handicapée, il s’en occupa avec dévouement et patience.
Toute sa vie, il rechercha la perfection. Il ne la trouva que dans la nature qui s’exprimait dans son jardin.
Que sa famille et ses proches plongés dans la peine trouvent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU

 

Michel Sonney

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Semsales

Michel Sonney est décédé à son domicile, le 13 juin, à l’âge de 80 ans. Le dernier adieu a lieu ce mardi, en l’église de Semsales. Michel vit le jour le 19 février 1934, à Fiaugères. Il était l’aîné de treize enfants. Fils d’agriculteur, il a tout de suite travaillé dur. Après avoir aidé son père à la ferme, il a œuvré sur les chantiers dès l’âge de 14 ans. Puis, à 20 ans, son apprentissage de boucher en poche, il partit travailler à Broc.
C’est à la même époque qu’il rencontra la femme de sa vie, Guiguitte  du They, à Semsales. Cinq années plus tard, les deux tourtereaux se marièrent et partirent vivre à Genève, où ils eurent la joie d’accueillir leur fils Jean-Claude. En 1969, Michel reprit la boucherie de la Poya, à Oron, avec l’un de ses frères. Il sut en faire une entreprise florissante qu’il remit à son fils et à sa belle-fille Danielle, il y a dix ans.
Guiguitte et Michel ont vécu leurs dernières vingt années à Semsales, dans le logis qui, jusque-là, faisait office de maison de vacances. C’est là et à Oron qu’ils ont passé leurs meilleurs moments, avec Ludovick et Audrey, leurs petits-enfants chéris.
Partageant son temps entre son métier, la chasse, ses lapins et ses chiens, Michel a été actif avec passion jusqu’à 80 ans. Depuis quelque temps, fatigué de tant de labeur, mais aussi éprouvé par la maladie de sa femme, il montrait des signes de faiblesse. C’est entouré de sa famille, de ses voisins et de ses amis qu’il décéda subitement le 13 juin, à la maison, comme il le désirait.
Que sa famille et ses proches reçoivent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU

Raymonde Savary

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née Baumgartner, Bulle

Raymonde Savary s’est endormie le 16 juin. Elle était dans sa 85e année. Une messe sera donnée en son hommage mercredi 25 juin, en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Raymonde a vu le jour le 29 août 1929, à Romont. Elle était la fille cadette de Jules et Rosa Baumgartner. Après une enfance passée à Romont, elle effectua un apprentissage de coiffeuse dans le salon de Mme Clarenback, à la rue de Gruyères, à Bulle, où elle travailla jusqu’à sa retraite.
Passionnée de mots croisés et de voyages, Raymonde aimait particulièrement l’Afrique. Depuis sa retraite, elle y passait plusieurs semaines par année.
A la fin de l’année 2013, sa santé s’est soudainement dégradée. Après plusieurs mois d’hospitalisation, Raymonde Savary s’est paisiblement éteinte au Foyer Saint-Germain, à Gruyères, où elle bénéficia des bons soins et du dévouement du personnel et de la direction.
A sa fille, à sa famille et à tous ceux que le départ de Raymonde Savary laisse dans la peine, La Gruyère témoigne sa sympathie. GRU

Anna Roch

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née Gapany, Le Châtelard

Après deux années passées au home de Billlens, Anna Roch s’est endormie paisiblement, le 10 juin, alors qu’elle cheminait dans sa 89e année. Un dernier hommage lui a été rendu, voilà une dizaine de jours, en l’église du Châtelard.
Anna a vu le jour le 1er mars 1926 dans la famille d’Alfred et Marie Gapany-Romanens, à Rueyres-Treyfayes, où elle a grandi en compagnie de ses quatre sœurs. Une fois ses écoles terminées, elle entreprit une formation de couturière.
Le 13 avril 1954, elle épousa Louis Roch. De cette union naquirent sept enfants, puis suivirent 20 petits-enfants et un arrière-petit-fils.
Avec sa grande famille, Anna n’a pas été épargnée par le travail. Mais elle a quand même trouvé le temps de faire plusieurs pèlerinages et voyages avec son mari et sa famille.
Anna Roch était la marraine du drapeau du Chœur-Mixte du Châtelard, au sein duquel elle a chanté de nombreuses années.
A sa famille, à ses amis et à tous ceux que le départ d’Anna Roch laisse dans la peine, La Gruyère témoigne sa sympathie. GRU

 

Fernand Overney

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Bulle

Fernand Overney s’est éteint vendredi à l’HFR Riaz. Il avait 95 ans. Un dernier hommage lui est rendu aujourd’hui mardi, en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Fernand Overney est né le 10 mai 1919 à Charmey. Fils d’Alexandrine Repond-Overney, il était le benjamin d’une fratrie de six enfants. Il passa son enfance et sa jeunesse au pied des Dents-Vertes avant de s’installer à Bulle en 1948 et d’y commencer une carrière de meunier au Syndicat agricole. Un établissement qu’il ne quitta que la retraite venue.
De 1962 à 1989, Fernand Overney occupa également la fonction de chef de section de l’armée pour la ville de Bulle et ses environs. Tireur de grand talent et honoré à de multiples reprises, il comptait de nombreux amis au sein des sociétés de tir bulloise et fribourgeoise.
En 2008, après le décès de son épouse Hélène, avec laquelle il partagea soixante-trois ans de vie commune, il put compter sur le soutien de ses quatre enfants et sur la présence de ses sept petits-enfants et six arrière-petits-enfants. Il put ainsi rester chez lui jusqu’au mois de mai, date à laquelle il dut être hospitalisé.
A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès de Fernand Overney laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Rosa Ecoffey

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née Charrière, Romont

Rosa Ecoffey-Charrière s’est éteinte le 12 juin au Home médicalisé du Gibloux, à Farvagny. Elle avait 93 ans. Un dernier hommage lui a été rendu le 16 juin.
Rosa naquit le 1er avril 1921 dans le foyer de Julien et Catherine Charrière-Sudan à Cerniat. Elle était la huitième d’une fratrie de neuf enfants. Lors­qu’elle eut 3 ans, ses parents la confièrent à sa marraine et à son grand-père. Elle vécut à Gumefens jusqu’à l’âge de 9 ans. Au décès de son grand-père, elle rejoignit ses parents et fut alors initiée aux travaux du ménage, de la terre et aux soins à prodiguer au bétail.
Malgré des conditions de vie rudes, rythmées par le travail et la prière, une belle harmonie, beaucoup d’amour et de complicité régnaient entre elle et ses frères et sœurs. A 28 ans, elle s’engagea comme jeune fille dans la famille d’Adolphe et Marguerite Ecoffey, à Sâles. C’est là qu’elle rencontra Bernardin, qui devint son époux en 1950. Le couple s’établit à Chavannes-sous- Romont sur le domaine des Petits-Quartiers. De cette union naquirent quatre enfants. Les épreuves n’ont pas épargné cette maman qui eut la douleur de perdre son fils unique à la naissance ainsi que sa fille Adèle à 18 mois. Elle eut ensuite le bonheur d’accueillir quatre petits-enfants et deux arrière-petits-enfants.
En 1956, la famille déménagea à Sâles pour exploiter le domaine de l’hoirie Ecoffey, puis dès février 1968, elle s’établit définitivement à Romont. En 1980, le décès subit de son époux, âgé de 63 ans, vint ternir le bonheur retrouvé. Malgré la liquidation du bétail et la fin de l’exploitation, Rosa poursuivit sa vie à la ferme, entourée par sa famille. Sa passion était le jardinage. Son principal plaisir était de réunir tous les membres de sa famille. Sa bonté, son sens de l’accueil et du partage étaient naturels.
A la fin du mois de décembre 2011, une chute contraint Rosa à entrer au Home du Gibloux. Les plus belles années de sa vie, selon elle, car elle n’avait jamais été «cocolée» de la sorte. La présence de sa fille parmi le personnel soignant a certainement joué un rôle dans son adaptation. Dès son entrée au home, Rosa exprima sa décision de faire don de son corps à la médecine, allant ainsi au bout de sa philosophie de don de soi.
A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès de Rosa Ecoffey-Charrière laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Paul Dafflon

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Bulle

Paul Dafflon s’est endormi paisiblement, entouré de l’amour des siens, samedi au Home de la Jogne, à Charmey. Il avait 88 ans. Un dernier hommage lui est rendu aujourd’hui mardi en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Paul Dafflon naquit le 7 février 1926, à Neyruz. Fils de Jean et Cécile Dafflon, il est le dixième enfant d’une fratrie de douze. A 27 ans, Paul quitta le chemin tout tracé qui le destinait à reprendre le domaine familial. Par amour pour Marie-Rose Chavaillaz, fille de cafetier, qu’il épousa en 1953, il devint restaurateur.
Sans formation dans cette profession, il apprit son métier sur le tas, en tenant d’abord l’Auberge d’Estavannens durant six ans. Le couple géra ensuite durant deux ans le premier dancing de la Gruyère, le Rallye, dès son ouverture à Bulle en 1960.
Sa carrière de restaurateur se poursuivit derrière le zinc de l’Hôtel de Ville, à Bulle. La famille s’agrandit aussi avec la venue de deux fils, Jean-Daniel et Thierry, et, plus tard, d’une petite-fille, Audrey.
En 1969, elle s’installa à Avry-devant-Pont. Marie-Rose et Paul y tinrent l’Hostellerie du Vignier durant quinze ans. Patron attentif d’un calme olympien et organisateur hors pair, Paul avait le sens inné de l’accueil. En plus de ses établissements, il fut également le tenancier de la Buvette du Marché-couvert à Bulle, de 1960 à 1996, et un membre actif au sein du comité de la Société des cafetiers et restaurateurs de la Gruyère durant vingt-sept ans.
Homme de cœur et bon vivant, Paul contribua à la vie associative de la région. Il fonda notamment le club de football, la jeunesse et la société de théâtre de Neyruz. Il aimait écrire, en français comme en patois, ses souvenirs et des poèmes.
Le temps de la vieillesse ne fut pas une sinécure pour lui. Malade, Paul rejoignit alors, avec son épouse, le Home de la Jogne, où il s’est éteint.
A son épouse, à sa famille et à tous ceux que le décès de Paul Dafflon laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU


Thérèse Jaquet

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née Borcard, Estavannens

Thérèse Jaquet s’est endormie paisiblement lundi au Home de la vallée de l’Intyamon, à Villars-sous-Mont. Elle avait 92 ans. Un dernier hommage lui est rendu aujourd’hui jeudi en l’église d’Estavannens.
Thérèse Jaquet naquit le 23 avril 1922 à Grandvillard, dans la famille d’Aimé et Justine Borcard-Ecoffey. Elle était l’aînée d’une fratrie de cinq enfants. A l’âge de 20 ans, Thérèse Jaquet perdit sa maman. Dès lors, elle la remplaça dans de nombreuses tâches et s’occupa de ses frères et sœurs.
En 1953, Thérèse Jaquet unit sa destinée à celle de Maurice Jaquet, sellier, d’Estavannens. Trois fils vinrent agrandir le foyer. Habile de ses mains, elle seconda son époux dans son travail, en l’aidant notamment dans les travaux de couture. Attachée à la terre, Thérèse Jaquet cultivait avec bonheur légumes et fleurs dans son jardin. Des fleurs qu’elle donnait avec plaisir pour décorer l’église du village, qu’elle fréquentait assidûment. Elle aimait aussi partir à la cueillette de petits fruits, qu’elle transformait en délicieuses confitures.
Férue de cartes, Thérèse Jaquet y jouait régulièrement avec des amies. Elle crochetait et confectionnait aussi des couvertures, distribuées à diverses associations. En 1986, Thérèse Jaquet surmonta avec courage le décès de son mari. Devenue veuve, elle donna un coup de main à l’épicerie du village. Plus tard, la famille s’agrandit avec l’arrivée de cinq petits-enfants, que Thérèse Jaquet choya. Elle leur apprit notamment à tricoter et à jouer au poutz. Attachée à sa famille, elle avait plaisir à réunir ses proches autour d’un repas.
En 2006, après un bref passage au Foyer Saint-Joseph, à Sorens, elle intégra le Home de la vallée de l’Intyamon, à Villars-sous-Mont. Très bien entourée, elle apprécia sa nouvelle vie et y coula de belles années.
A sa famille et à tous ceux que le départ de Thérèse Jaquet laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Marguerite Jordan

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née Gremaud, Romanens

Marguerite Jordan s’est endormie paisiblement lundi, cheminant dans sa 96e année. Un dernier hommage lui sera rendu ce jeudi matin en l’église de Sâles.
Marguerite est née le 25 juillet 1918 à la ferme du Paquier à Maules, dans le foyer de Joseph et Marie Gremaud-Borcard. Elle était l’avant-dernière d’une fratrie de dix enfants. Elle effectua sa scolarité à Maules, puis aida aux travaux de la ferme familiale. Elle alla aussi travailler chez une de ses tantes, à Vaulruz.
En avril 1942, Marguerite unit sa destinée à celle de Camille Charrière, de Romanens, qui malheureusement décéda accidentellement en avril 1956. Ce fut un immense chagrin.
En octobre 1961, elle épousa en secondes noces André Jordan, de Vaulruz. Elle n’eut pas le bonheur d’avoir d’enfants.
Marguerite seconda ses époux sur le domaine de Romanens. Elle s’occupait de ses poules et de son grand jardin où elle cultivait ses fleurs et légumes qu’elle allait vendre sur le marché, à Bulle. Elle appréciait beaucoup la vue sur la chaîne de montagnes et sur le Moléson qu’elle admirait depuis sa ferme. Elle était aussi connue pour être la marraine du drapeau de la Société de tir de Sâles.
Femme très pieuse, elle aimait se rendre à la chapelle de la Verguenaz, à Vaulruz, où elle confiait à Marie ses joies et ses chagrins.
Après le décès subit de son mari André en février 2003, elle vécut seule dans sa ferme avec son chien. Elle put jouir d’une bonne santé jusqu’à plus de nonante ans. En juin 2010, elle fut hospitalisée à Riaz, puis à Châtel-Saint-Denis. En août de la même année, elle fut contrainte d’entrer au Foyer Notre-Dame Auxiliatrice à Siviriez. Puis, en septembre 2011, elle put rejoindre le Foyer Saint-Joseph à Sâles, où elle fut admirablement soignée et choyée.
A sa famille, à tous ceux que le départ de Marguerite Jordan plonge dans la peine, La Gruyère dit sa sympathie émue. GRU

Michel Maillard

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La Rougève

Entouré des siens, Michel Maillard s’est éteint le 24 juin. Il avait 64 ans et 18 jours. Une foule immense lui a rendu un dernier hommage vendredi 27 juin en l’église de Semsales.
Né le 6 juin 1950 à La Rougève, Michel était le deuxième d’une fratrie de trois garçons et deux filles. Il a suivi sa scolarité à La Rougève, qui était à ce moment-là commune à celle de Saint-Martin. Puis, ce fut l’école secondaire et l’école d’agriculture à Bulle.
Très tôt, les travaux de la ferme n’eurent plus aucun secret pour lui. Son domaine s’est petit à petit agrandi. Et le labeur aussi! En parallèle de ses travaux agricoles, Michel Maillard a œuvré plusieurs années à l’usine Moplast à La Verrerie ainsi qu’au chantier de l’autoroute A12 et à la scierie Sonney du village. Dans chacun de ses emplois, il a tissé de solides liens d’amitié avec ses collègues.
En 1981, il unit sa destinée à Florence. Il a élevé Nicolas comme son propre fils et a ensuite eu la joie de voir naître Laurent, en 1982, et William, en 1985. Ce papa-patron exemplaire a su leur transmettre son savoir-faire et l’amour du travail bien fait.
Ses plaisirs étaient simples: une virée à la montagne en famille, retrouver ses amis proches autour d’un bon repas, accueillir fièrement les voisins pour visiter la crèche de Florence… Deux voyages ont élargi son horizon: Amsterdam et Paris!
Depuis quelques années, Michel Maillard s’était découvert une passion pour le patois en intégrant le groupe des Takounè ainsi que le groupe des Amis du patè. C’est aussi à cette occasion qu’il a fait ses premiers pas au théâtre. Trois pièces au Crêt et à Châtel pour lesquelles il était toujours le premier à connaître les textes par cœur.
Depuis ce printemps, il avait à cœur de refaire les façades et les volets de la maison familiale pour ce dimanche 29 juin où toute la famille devait se réunir à La Rougève. Mais, après trois ans de maladie, la vie en a décidé autrement. Les foins réduits, la maison belle et fraîche, Michel est descendu une dernière fois de son tracteur, quelques jours avant sa mort.
Que son épouse, ses enfants et tous ceux que le départ de Michel Maillard laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Louis Guillet

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Villar-sur-Glâne

Hier vendredi 4 juillet, Louis Guillet aurait fêté son 88e anniversaire. Mais il s’en est allé juste avant, à la suite d’un malaise et d’une mauvaise chute. Un dernier hommage lui a été rendu le 24 juin dernier, en l’église de Villars-sur-Glâne.
Louis Guillet naquit en 1926, à Treyvaux. Il était l’aîné d’une famille de sept enfants. Ses parents étaient fermiers. La vie d’alors était simple, mais très jeune, il dut travailler au domaine. Louis aimait particulièrement les séjours dans les alpages, comme garçon armailli. Vint ensuite le temps des stages dans diverses laiteries. Il compléta sa formation de fromager à Grangeneuve, après quoi il fut engagé à la Cremo, à Villars-sur-Glâne, où il travailla plus de trente ans.
A La Roche, il rencontra Monique Brodard, qui devint son épouse en 1954. De cette union naquirent quatre enfants, Lucie, Rose, Jean-Bernard, et Yves, qui firent la fierté et le bonheur de Louis Guillet. Ses trois petits-enfants Alexandra, Laura et Julien garderont aussi de bons souvenirs de leur grand-père. En 2006, Louis Guillet eut la douleur de perdre son épouse Monique, affaiblie par la maladie de Parkinson. Mais, dans sa foi, il savait qu’il pourrait la retrouver auprès de son Seigneur.
Louis Guillet aimait les fêtes et il chantait volontiers. Mais surtout il était un vrai amoureux de la montagne. Il allait s’y promener, visiter les chalets d’alpage. Sa participation à la Société des armaillis de la Gruyère revêtait une grande importance pour lui. C’est d’ailleurs vêtu du bredzon qu’il entreprit son dernier voyage pour rejoindre son épouse.
S’il travaillait dans une entreprise, il gardait le besoin de mettre les mains dans la terre. Son jardin à la Faye, à Givisiez, était comme sa résidence secondaire. Depuis sa retraite, il y allait chaque jour. Et c’est là que, malheureusement, il eut un malaise, suivi d’une chute. Rapidement conduit à l’hôpital, il ne parvint pas à s’en remettre. Mais avant de s’en aller, il eut le temps de dire à ses enfants: «J’ai eu une belle vie.»
A sa famille et à tous ceux que le départ de Louis Guillet laisse dans la peine, La Gruyère témoigne sa sympathie. GRU

Robert Pugin

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Echarlens

Un dernier hommage est rendu ce mardi après-midi à Robert Pugin, en l’église d’Echarlens. Il est décédé samedi à l’HFR Riaz. Il avait 93 ans. Robert Pugin vit le jour le 5 juin 1921 à Echarlens, dans le foyer de Paul et Stéphanie Pugin-Ecoffey. Il était le benjamin d’une fratrie de huit enfants. Après un apprentissage de couturier, il travailla aux ateliers de couture SAM, puis Seiler, à Bulle, jusqu’à sa retraite. Resté célibataire, il vivait avec son frère Xavier dans leur maison à Montillier, à Echarlens. Robert Pugin était un fin cuisinier et s’occupait des tâches ménagères. Il appréciait beaucoup ses neveux et ses nièces, ainsi que leur famille, qui le lui rendaient bien. Il était également entouré de nombreux amis et amies. Robert Pugin aimait beaucoup voyager. Il s’était ainsi rendu à Oman et en Tunisie, à de multiples reprises. En outre, il pouvait se targuer de posséder une excellente mémoire et connaissait tout de son village natal. Nombreux sont ceux qui avaient recours à lui quand ils avaient besoin de renseignements. La lecture était son passe-temps favori. Il aimait également les jeux de lettres. En 2009, il prit la décision de quitter sa maison pour s’installer au Foyer St-Joseph, à Morlon. Il y fut très bien accueilli et entouré. Il faut dire que Robert Pugin avait beaucoup d’humour et savait se rendre utile. Victime d’une mauvaise chute, il dut se faire hospitaliser au mois de mai dernier à Riaz, où il s’est éteint. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès de Robert Pugin laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

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