Quantcast
Channel: Nécrologie
Viewing all 1696 articles
Browse latest View live

Thérèse Schmutz

$
0
0
née Marchon, Le Bry

Thérèse Schmutz s’est éteinte paisiblement le samedi 12 avril. Elle était dans sa 90e année. Un dernier hommage lui a été rendu mardi 15 avril, en l’église d’Avry-devant-Pont. Thérèse naquit le 15 août 1924, à Vuisternens-en-Ogoz. Elle était la troisième des huit enfants de Maria et Félicien Marchon. Très tôt, elle dut s’occuper du petit domaine familial, traire les vaches et faire les foins, pour épauler son père malade. En 1946, elle épousa André Schmutz. Dans le contexte assez dur d’après-guerre, où l’eau et l’électricité n’arrivaient pas encore dans chaque maison, le couple s’installa à Villars-d’Avry, rattaché depuis au Bry. C’est là que naquirent trois enfants: Michel, Marcel et Denise. Puis, en 1960, la famille construisit une petite maison dotée d’un peu plus de confort, juste à côté de l’ancienne. Thérèse épaulait alors son mari sur l’exploitation familiale et travaillait également comme serveuse dans différents cafés de la région. Durant son temps libre, Thérèse Schmutz aimait se rendre aux lotos avec son époux. Elle appréciait également énormément les visites de ses sept petits-enfants et de ses cinq arrière-petits-enfants. Après le décès d’André, en 1986, elle aimait retrouver ses amies les mardis après-midi pour jouer aux cartes. Bien entourée de ses enfants et de ses petits-enfants, elle put rester à la maison jusqu’au 16 mars dernier. Elle dut alors être hospitalisée, atteinte d’une pneumonie qui allait l’emporter. Que ses enfants, sa famille et ses proches trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU


Anne-Marie Andrey

$
0
0
née Frossard, Broc

Anne-Marie Andrey s’est éteinte ce Vendredi-Saint. Elle avait 88 ans. Un dernier hommage lui a été rendu lundi en l’église de Broc. Anne-Marie Andrey est née le 30 décembre 1925, dans la famille de Louis Frossard et Julia, née Repond, à Villarvolard. Elle était l’aînée d’une fratrie de douze enfants. Très jeune, elle seconda sa maman en s’occupant de ses frères et sœurs. A 16 ans, elle fut placée dans une famille en Suisse alémanique pour gagner un peu d’argent, qu’elle envoyait à sa maman, dont elle s’occupa jusqu’à sa mort. Elle fut ensuite engagée chez Nestlé. C’est là qu’elle rencontra son futur mari, Louis Andrey. De leur union, célébrée en 1953, naquirent trois filles. Après s’être installé un temps à Villarvolard, le couple déposa ses valises à Broc. Anne-Marie Andrey eut ensuite la joie de voir sa famille s’agrandir de six petits-enfants et 11 arrière-petits-enfants qu’elle avait la joie de voir régulièrement. Il y a dix ans, elle perdit son mari, mais ne baissa jamais les bras. Elle s’occupait de son ménage et allait se promener tous les jours, appréciant particulièrement les tours en montagne. Voilà une année, atteinte de la maladie d’Alzheimer, elle dut se résoudre à rejoindre le home de Charmey. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Anne-Marie Andrey laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Agnès Telfser

$
0
0
Forel

A l’aube du 23 avril, Agnès Telfser s’en est allée, victime d’une embolie pulmonaire. Elle avait 68 ans. Un dernier hommage lui est rendu ce samedi, en l’église d’Oron-la-Ville.
Agnès vivait paisiblement dans son «petit paradis». Elle y appréciait le calme de la campagne et la vue imprenable sur les montagnes. Elle avait à cœur de prendre soin de ses petits animaux et d’embellir sa maison avec toute sorte de plantes et de fleurs.
Atteinte dans sa santé, Agnès avait été contrainte de mettre prématurément fin à son activité professionnelle au sein de la Fondation Clos-Fleuri. Néanmoins, elle continua à apporter son soutien au sport handicap. Elle accompagnait volontiers ces courageux sportifs dans leurs déplacements.
Agnès appréciait beaucoup les visites de sa famille et elle eut encore le bonheur de la retrouver réunie autour de sa table bien garnie le jour de Pâques. Elle se réjouissait déjà de leur prochaine rencontre. Le destin en a décidé autrement.
A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Agnès Telfser laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Adèle Grand

$
0
0
née Niclasse, Avry-devant-Pont

Entourée de sa famille, Adèle Grand s’est éteinte dimanche à l’Hôpital cantonal de Fribourg dans sa 94e année. Un dernier hommage lui sera rendu mercredi après-midi en l’église d’Avry-devant-Pont.
Troisième des six enfants de Robert et Angèle Niclasse-Baeriswyl, Adèle naquit à Avry-dt-Pont le 17 janvier 1921. En 1943, elle épousa Paul Grand, menuisier-charpentier de Vuisternens-en-Ogoz. De leur union naquirent trois enfants, Robert (Roby), Monique et Bernard.
Tout en s’occupant de sa famille, Adèle secondait sa maman buraliste postale à Avry-dt-Pont. A pied, elle parcourait la commune pour apporter aux habitants journaux, paquets et factures.
En 1948, la mort accidentelle de son frère et filleul Bernard Gilloz, âgé de 10 ans, fut certainement la plus grande douleur de sa vie. Puis en 1967, Adèle eut l’immense chagrin de perdre son mari, âgé de cinquante ans. C’est au côté de son fils Roby qu’elle continua à vivre dans la maison où elle passa toute sa vie, s’occupant du ménage, du jardin et en rendant de multiples services à ses enfants.
Adèle chérissait ses trois petits-enfants et ses six arrière-petits-enfants. Elle aimait passer du temps avec sa sœur Marie-Thérèse (Mayon), une gran­de complicité les unissait. Elle appréciait également les activités organisées par le club des dames.
La lecture, les parties de cartes en famille ou avec ses amis, Top models et le chocolat étaient les petits plaisirs de sa vie. Restée entièrement autonome, elle pensait profiter encore un peu de la vie, mais un AVC en a décidé autrement.
A tous ceux qui pleurent le départ d’Adèle Grand, nous adressons notre sympathie émue. GRU

 

Sophie Rime

$
0
0
Avry-devant-Pont

A l’aube du Vendredi-Saint, Sophie Rime s’en est allée, à la suite de graves problèmes de santé. Elle avait 36 ans. Un dernier hommage lui sera rendu samedi en l’église d’Avry-devant-Pont.
Sophie est née le 29 septembre 1978. Elle était le premier enfant de Laurent et Christiane Rime, à Gumefens. Après sa scolarité, elle fit plusieurs stages dans le domaine de la santé en Gruyère et au Pays-d’Enhaut.
Restée handicapée à la suite d’un accouchement difficile, elle s’installa à Genève pour y suivre une formation d’éducatrice de la petite enfance et d’arthérapie. Malheureusement, il s’avéra que ces formations n’étaient pas reconnues par les services et institutions qui auraient dû l’engager.
Il en résulta, pour Sophie, des angoisses et du stress qui la menèrent sur un long chemin d’incertitudes et de souffrances. Et ce, malgré le soutien de ses parents, aimants et attentionnés.
Malgré sa situation précaire, Sophie avait à cœur de s’occuper des personnes les plus démunies. Elle était active, notamment en politique, pour leur défense.
A tous ceux que la disparition de Sophie Rime laisse dans la peine, nous adressons nos sincères condoléances. GRU

Eliane Favre

$
0
0
née Favre, Le Crêt

Eliane Favre nous a quittés paisiblement le 16 avril, à l’âge de 72 ans. Une foule dense et émue lui a rendu un dernier hommage le 19 avril en l’église du Crêt. Eliane est née le 30 avril 1942 dans le foyer de Firmin et Julia Favre au Crêt, une famille de cinq enfants dont elle était l’aînée. Fière de vivre dans son village, elle y a passé toute son existence. Très tôt, Eliane a été une aide précieuse pour sa maman Julia. Elle a soutenu son frère et ses sœurs dans le dur labeur de la ferme, afin de remplacer un papa parti prématurément en 1962. En 1976, elle eut la douleur de perdre sa maman. Elle surmonta cette nouvelle épreuve avec beaucoup de courage. C’est donc à la ferme familiale, qu’elle passa ses jeunes années. En 1976, elle unit sa destinée à Jules Favre et le jeune couple eut la joie d’accueillir une fille, Sonia, qui fut le rayon de soleil de leur foyer. Eliane Favre a participé à la vie de son village, de sa paroisse en chantant au chœur mixte et en collaborant lors des fêtes villageoises par une participation active et fidèle. Elle faisait partie de la société des armaillis et était également membre d’honneur de la fanfare paroissiale La Lyre. Eliane a travaillé de nombreuses années au service des autres, accomplissant des tâches ménagères et des travaux de repassage dans plusieurs familles avec lesquelles elle a entretenu des liens privilégiés d’amitié et de partage. Plus tard, pour son plus grand bonheur, la famille s’agrandit par le mariage de sa fille Sonia avec Philippe, puis par la naissance de trois petits-enfants: Simon, Léonie et Estelle. Eliane était pour eux une grand-maman douce et attentionnée. La famille était l’une des plus grandes valeurs d’Eliane. Elle aimait la réunir à l’occasion des fêtes qui jalonnent l’année. Elle appréciait de partager un moment d’amitié autour d’un café, d’un repas ou encore de participer à un loto. Toujours soucieuse du bien-être des autres et des siens, elle laissera à chacun le souvenir d’une personne d’une grande bonté. Attachée aux choses simples et belles, Eliane aimait la nature et la vie. Des promenades en montagne, des balades destinées à la récolte de champignons, les fleurs de son balcon, l’entretien de son jardin, autant d’activités qui lui permettaient tout simplement de rester au contact de la nature. Ces dernières semaines, sa santé avait subitement décliné. C’est sereinement, tendrement entourée des siens, qu’elle s’est endormie pour enfin se reposer après une vie riche et bien remplie. A sa famille et à tous ceux qui pleurent sa disparition, La Gruyère adresse ses messages de sympathie. GRU

Gabriel Marro

$
0
0
Marsens

Gabriel Marro s’en est allé vendredi. Il avait 75 ans et séjournait au home de La Rose des Vents, à Broc. Ayant décidé de donner son corps à la science, un dernier hommage lui sera rendu mercredi, lors d’une célébration du souvenir, en l’église d’Echarlens.
Gabriel Marro est né le 25 mars 1939, dans le foyer de François et Antonie, à la ferme du Prinnex, à Villarimboud. Il y vécut jusqu’à ses onze ans avant que la famille, qui comptera onze enfants, ne déménage dans une ferme à Fuyens. A la fin de sa scolarité, il travailla comme ouvrier agricole à Granges - La Battiaz, puis à la ferme de la Fille-Dieu à Romont. Parallèlement, il suivit des cours complémentaires. En 1959, Gabriel Marro entra à l’hôpital de Marsens pour y fréquenter l’école d’infirmier. Il restera actif dans l’institution jusqu’à l’âge de la retraite. Il était très apprécié de ses collègues. C’est aussi en 1959 qu’il rejoignit la chorale de l’hôpital, qu’il ne quitta qu’en 2006, non sans avoir été décoré de la médaille Bene Merenti en 2000. Le chant fit partie de sa vie, comme de celle de ses parents, de ses frères et de ses sœurs. Il rencontra Anne-Marie Perroud sur son lieu de travail. De leur union célébrée en 1967 naquirent trois enfants, Philippe, Nathalie et Olivier. La famille  s’agrandit plus tard à l’arrivée de huit petits-enfants. Après avoir vécu au Crêt, à Marsens, ils s’installèrent, en 1975, dans une villa à Montmasson, où il passa de nombreuses heures à bricoler. Les chemins de Gabriel et d’Anne-Marie se séparèrent en 2002. Très actif, Gabriel Marro participait à la vie du village en s’investissant tant dans le théâtre que la gymnastique. Il se rendit souvent à Lourdes, en tant que bénévole. Lui-même affaibli depuis sa naissance par une maladie cardiaque qui le contraignit à subir une intervention chirurgicale à l’âge de
30 ans, il tenait beaucoup à se mettre au service des autres. L’âge venant, sa santé se péjora et ses forces le quittèrent peu à peu. En 2008, il rejoignit le home de La Rose des Vents à Broc où il recevait régulièrement la visite de sa famille et de son amie Louisa. Il fut accompagné par un personnel dévoué jusqu’à ses derniers instants. A sa famille, ses proches et à tous ceux que le décès de Gabriel Marro laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Joseph Romanens

$
0
0
Sorens

Joseph Romanens s’est éteint dimanche à l’HFR Riaz, où il était hospitalisé depuis deux mois. Il avait 92 ans. Un dernier hommage lui sera rendu mercredi en l’église de Sorens. Joseph Romanens naquit le 5 février 1922, dans la famille d’Oscar et de Florence, née Fragnière. Il était le troisième d’une fratrie de sept enfants. Il grandit à la ferme de Potzon, à Sorens. Dès son plus jeune âge, il fut initié aux travaux de la ferme, un dur labeur à l’époque déjà, d’autant qu’aucune machine n’était à disposition. Il travaillait également aux tourbières de Mau­les-Romanens pour compléter ses revenus. Mobilisé, Joseph Romanens passa quelque cinq cents jours sous les drapeaux au sein de la compagnie 1/14. Il aimait évoquer les souvenirs de cette période qui le marqua durablement. En 1947, il reprit une petite exploitation agricole, qu’il dut abandonner, en 1958, pour cause de maladie. Il retrouva, plus tard, une activité en tant que garde-génisses sur différents alpages, au Gros-Moléson et dans la vallée de la Jogne notamment. A l’âge de la retraite, Joseph Romanens s’occupa d’une partie du bétail de l’un de ses neveux et de quelques chèvres pour la fabrication des tommes. Doué d’une «force herculéenne», il continua à marcher chaque jour jusqu’à l’âge de 92 ans pour maintenir sa condition physique. Pourvu d’une barbe bien fournie, Joseph Romanens fit partie de la Société des barbus de la Gruyère. Il en fut même le porte-drapeau durant de nombreuses années. Il était particulièrement fier d’avoir participé à l’Exposition de 1964, à Lausanne. Pour récompenser sa fidélité, il fut nommé membre d’honneur. Il arborait fièrement le bredzon à chaque occasion. D’un abord rude et d’un caractère bien trempé, Joseph Romanens n’en cachait pas moins une grande sensibilité et un cœur très tendre. Il resta toute sa vie célibataire. Il était très croyant. Voilà quelques années, il s’installa chez son neveu Gilbert et son épouse Jacqueline où il vécut une paisible vieillesse jusqu’à son hospitalisation. A sa famille, ses proches et à tous ceux que le décès de Joseph Romanens laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU


Anne-Marie Currat

$
0
0
née Genoud, Châtel-Saint-Denis

Entourée de sa famille, Anne-Marie Currat s’est éteinte le lundi de Pâques.
Née le 13 septembre 1932 à Châtel-Saint-Denis, elle a grandi à Fruence, avec sa sœur et son frère. L’école terminée, elle est partie travailler à la fabrique de cigares à Vevey.
En 1952, elle a uni sa destinée à Raymond Currat et s’est installée à Prayoud. Elle a dès lors secondé son mari dans les travaux de la ferme. De leur union sont nés trois enfants, Gilbert, Anne-Lise et Michel. En 1976, elle a déménagé à Châtel-Saint-Denis, sur le domaine de la Maison Saint-Joseph. Ce changement fut un grand bonheur pour elle.
Anne-Marie chérissait ses cinq petits-enfants et deux arrière-petits-enfants. Elle aimait se rendre chaque mercredi chez son frère et sa belle-sœur, jouer aux cartes, aller au loto, passer les week-ends chez sa fille, monter au chalet durant l’été. Des choses simples de la vie.
Elle ne fut cependant pas épargnée par les épreuves. Elle eut la douleur de perdre son fils cadet dans un accident de la route en 1989. Puis, en 1995, son mari décéda. Enfin, en 2012, elle fut très affectée par l’incendie qui ravagea la ferme de sa fille. Un cancer apparut peu après, maladie qu’elle a combattue avec un courage exemplaire.
Ses proches se souviendront de sa bonté, de sa gentillesse. A tous ceux qui pleurent la disparition d’Anne-Marie Currat, nous disons notre sympathie émue. GRU

 

Louisa Risse

$
0
0
née Charrière, Cottens

Louisa, dite Zaza, a vu le jour au sein de la famille d’Auguste et Dorothée Charrière-Overney le 30 mai 1926, à La Valsainte, dans la ferme de la Cierne. Elle était la cadette d’une famille de sept enfants. Elle a suivi sa scolarité à l’école de La Valsainte. Puis, elle a travaillé sur le domaine familial.
Le 14 avril 1952, elle a uni sa destinée à Joseph Risse, de Pont-la-Ville. De cette union sont nés quatre filles et deux garçons, dont l’aîné devait décéder subitement en 1991.
Après son mariage, le couple s’est établi sur le domaine de Symphorien Yerly, à Pont-la-Ville. Il l’a exploité pendant plusieurs années, avant de passer le flambeau à son fils Gérald. A l’heure de la retraite, il vint s’installer sur l’alpage des Botthey.
D’une nature discrète, Louisa aimait la visite de ses enfants, de ses 22 petits-enfants et de ses quatre arrière-petits-enfants. En 2012, elle et son époux entrèrent au home St-Martin, à Cottens.
A tous ceux qui pleurent la disparition de Louisa Risse, La Gruyère adresse ses sincères condoléances. GRU

 

Betty Rime

$
0
0
née Fragnière, Charmey


Betty Rime s’est éteinte paisiblement samedi, au Home de la vallée de la Jogne, à Charmey. Elle avait 92 ans. Un dernier hommage lui a été rendu mercredi en l’église de Charmey.
Betty Rime est née le 9 juin 1922 à Sorens, dans la famille de Pierre et Rosalie Fragnière, agriculteurs. Elle était la septième d’une fratrie de huit enfants. Sa scolarité terminée, elle aida ses parents en travaillant comme sommelière dans l’établissement qu’ils avaient repris, le Café du Cercle des agriculteurs. En 1945, elle s’établit à Charmey, où elle fut engagée au Café des XIX Cantons, à la Tzintre. Elle poursuivit sa carrière dans la restauration et travailla durant de nombreuses années aux restaurants du Sapin et du Maréchal-Ferrant.
A la bénichon 1947, Betty Rime épousa Pierrot Rime. De cette union naquit une fille, Annelise, en 1956. Plus tard, elle devint grand-maman et choya son petit-fils Stéphane, né en 1982.  
Betty Rime appréciait particulièrement la danse. Elle fréquentait volontiers les lotos et ne refusait jamais une partie de cartes. Elle était aussi très croyante. En 1995, elle eut le chagrin de perdre son mari. Elle resta seule, mais fut secondée par sa fille. Son état de santé se dégradant, elle quitta son appartement du centre du village et intégra le Home de la vallée de la Jogne, en 2007.
A sa famille et à tous ceux que le départ de Betty Rime laisse dans la peine, La Gruyère dit sa vive sympathie. GRU 

Andréa Tornare

$
0
0
née Aerschmann, Broc

Andréa Tornare s’est éteinte sereinement mardi dans sa 76e année au Foyer de La Rose des Vents, à Broc, où elle était entrée au début de l’année. Un dernier hommage lui a été rendu vendredi en l’église de Broc.
Andréa Tornare naquit le 3 juillet 1938 dans la famille de Joseph et Catherine Aerschmann-Baeriswyl, à Botterens. Dès son plus jeune âge, elle ne fut pas épargnée par la vie puisque, à deux ans, elle eut le malheur de perdre son papa et à 16 ans, son frère Germain.
Andréa fréquenta l’école primaire de Botterens  et partit ensuite apprendre l’allemand à Lucerne pendant une année. De retour dans sa Gruyère natale, elle travailla au magasin de chaussures Schueler, à Bulle.
Lors d’une soirée du Carnaval de Broc, elle rencontra Michel Tornare, charpentier-menuisier, avec lequel elle unit sa destinée en 1961. De cette union naquirent quatre enfants qu’elle éleva avec amour dans sa maison de Fin-Derrey. Par la suite, elle eut également le bonheur de voir naître dix petits-enfants pour qui c’était toujours un grand plaisir de venir passer un moment plein de bonne humeur chez «grand-maman de Broc».
Andréa s’investit dans la vie de son village et de sa paroisse et ne voyait pas la vie autrement que dans le don de soi. Ce fût donc tout naturellement qu’elle s’engagea  avec ferveur pour l’Œuvre des malades de la chapelle des Marches, lieu qu’elle affectionnait tout particulièrement.
Elle appréciait la vie associative tant par ses engagements pour les samaritains de Broc et de Gruyères, que pour chanter au sein de L’Echo des Mar­ches.
Atteinte par la maladie une première fois en 2005, sa grande force de caractère lui permit probablement de passer ce cap. En 2012, elle fut malheureusement rattrapée par la maladie. Au mois de février, elle entra au Foyer de La Rose des Vents. C’est avec un courage exemplaire qu’elle affronta ces ultimes et douloureuses épreuves, entourée de l’amour des siens.
Andréa laissera le souvenir d’une personne généreuse, sensible, au caractère bien trempé, mais qui savait, par son humour, se faire apprécier de son entourage.
A sa famille et à ses proches qui pleurent sa disparition, La Gruyère adresse ses messages de sympathie. GRU

Odile Charrière

$
0
0
née Buchs, Cerniat

Odile Charrière-Buchs s’est éteinte dimanche dernier, à l’aube de ses 90 ans. Un dernier hommage lui a été rendu mercredi en l’église de Cerniat.
Odile est née le 29 mai 1924 à la ferme de la Praz, à La Roche. Elle était la huitième d’une fratrie de dix-sept enfants. Elle a commencé son école primaire à La Roche. Lorsqu’elle avait 11 ans, ses parents déménagèrent aux Feguelenets, à Cerniat. Elle termina donc ses classes à l’école de La Valsainte.
Sa vie active a commencé par une année comme servante dans une famille. Sa route la conduisit ensuite vers Vevey, où elle rejoignit sa sœur Alodie qui travaillait au Café des Messageries, un établissement spécialisé dans les fondues. A cette époque, Odile avait mis de côté chaque petit sou gagné pour pouvoir s’acheter enfin un vélo.
Le 27 mars 1948, elle se maria avec Auguste Charrière de la Ruppaz, elle avait alors 24 ans. Tous deux s’installèrent aux Curtils, bâtis pour eux par le couvent de la Valsainte. De leur union sont nés sept enfants: Rose, Thérèse, Julien, Blanche, Gaby, Marie-Pascale et Jean-Pierre. Au fil des ans, la famille s’agrandit encore avec dix-huit petits- enfants et vingt-sept arrière-petits-enfants. Pour chacun d’eux, Odile a toujours ouvert sa porte avec un grand sourire, une tasse de thé et un biscuit.
Elle était très proche de ses petits- enfants et leur organisait régulièrement des petites sorties à pied ou à vélo. Nombreux sont ceux qui ont également passé quelques jours de vacances avec leur grand--maman. C’était «ses petites vacances» à elle.
A côté de son travail sur le domaine familial, elle prenait soin de fleurir sa maison avec goût. Elle portait également une grande attention à son jardin potager. En 1988, Odile et Auguste déménagèrent au village de Cerniat avec Jean- Pierre et Gaby. Ils y passèrent de belles années. Installée juste à côté de l’église, Odile appréciait de pouvoir aller à chaque messe.
En 2001, elle eut la douleur de perdre son mari. Odile Charrière-Buchs a toujours passé beaucoup de temps auprès des malades. Elle fut particulièrement dévouée à sa sœur Alodie qui a passé douze ans au home de Charmey.
Le 8 février, elle eut le malheur de faire une mauvaise chute et dut être hospitalisée. Son dernier bout de chemin fut pénible. Le dimanche de la Fête des mères, Odile a dit un dernier au revoir à sa famille.
Ses proches se souviendront de sa bonté, de sa gentillesse, de son regard clair. A tous ceux qui pleurent la disparition d’Odile Charrière-Buchs, nous
disons notre sympathie. GRU

Joseph Surchat

$
0
0
Bouloz

Joseph Surchat est parti le 8 avril dernier, tout tranquillement, pour rejoindre sa femme Marthe, décédée quelques semaines plus tôt. Un dernier hommage lui a été rendu le samedi 12 avril, en l’église de Porsel.
Sa famille et ses proches se rappellent la belle et longue vie qu’il a eue à la ferme de Bouloz, entouré de sa femme, de ses trois enfants, de ses neveux et nièces ainsi que de ses petits-enfants. De ses 95 ans, c’est la générosité, l’amabilité et l’humour de Joseph Surchat, ou Jo pour ceux qui le connaissaient bien, que ses proches retiennent.
Son engagement des années durant au chœur mixte lui a valu la médaille Bene Merenti et laisse de beaux souvenirs à ses amis de la Paroisse du Flon. Son entrain à danser et à profiter de la vie après les durs labeurs du champ a également animé la ferme de Bouloz et a permis à toute la famille, au sens large, de se sentir à la maison. Danser était un des plaisirs de Joseph Surchat, celui qui lui a fait rencontrer sa femme il y a presque septante ans.
C’est aussi aux bals de la région qu’il emmenait ses deux filles qui étaient tellement fières de ce bon danseur. Il partageait une vraie complicité avec elles. Joseph a aussi été une figure importante pour ses neveux et nièces. Son enjouement était combiné à une ouverture pour les nouveautés. Après la mobilisation durant laquelle il conduisait les officiers dans son side-car, il avait été parmi les premiers de la région à sillonner les routes dans cet engin.
Joseph avait mis à disposition un service de moissonneuse-batteuse et lieuse. Il s’occupait également de la préparation du bois, parfois même à titre gracieux lorsque les temps étaient durs. C’est un souvenir qui l’a accompagné jusqu’à la fin de ses jours, malgré la maladie. Josph avait ainsi permis à des familles de joindre les deux bouts.
Le domaine familial rendait toute la famille très fière de Joseph. Son fils perpétue aujourd’hui cet héritage. Joseph Surchat laisse le souvenir d’un homme bon et généreux, gravé dans la mémoire de sa famille et de ses proches. La Gruyère leur exprime sa sympathie. GRU

 

Henri Mauron

$
0
0
Villaraboud

Henri Mauron s’est endormi paisi­blement, entouré de sa famille, le 21 mars, à l’âge de 95 ans. Un vibrant  hommage lui a été rendu le 25 mars en l’église de Villaraboud.
Henri Mauron est né le 26 septembre 1919 dans le foyer d’Ernest et Cécile Mauron-Dénervaud. Il était le sixième d’une fratrie de neuf enfants.  Il a passé toute sa vie à Villaraboud, village qu’il aimait tant et qu’il n’a jamais quitté.
En 1944, il épousa Lina-Katharina Suter, de Beromünster. Le couple vécut à la ferme familiale des Planches du Moulin. De cette union sont nés quatre enfants. Par la suite, huit petits-enfants et dix arrière-petits-enfants vinrent agrandir le cercle familial.
En 1980, Henri eut la peine de perdre son épouse à l’âge de 60 ans. Dès ce moment, il cessa petit à petit son activité d’agriculteur et remit son exploitation à son fil Romain.
Henri Mauron était un paysan convaincu. Ses proches garderont de lui l’image d’un homme qui, animé d’une confiance inébranlable, se rendait aux champs pour répandre le grain dans les sillons. Il est passé d’une agriculture manuelle avec tout ce qu’elle avait de laborieux, mais aussi de grandeur créatrice, à une agriculture mécanisée.
Son engagement pour la collectivité a été exemplaire, tant au sein des cercles agricoles qu’en politique ou qu’à  la banque Raiffeisen de Villaraboud.
Henri a vécu une retraite paisible auprès de son fils Romain et de son épouse Sylvie qu’il chérissait et qui furent son soutien. Il se rendait chaque jour ou presque, si le temps le permettait, à la chapelle Notre-Dame-du-Bois.
Henri Mauron est entré au home médicalisé de Billens en 2012. A tous ceux qui pleurent la disparition de cet homme travailleur, mais aussi de ce père exigeant et plein d’amour pour sa famille, nous disons notre sympathie émue. GRU


Marie Schmidt

$
0
0
née Favre, Broc

Marie Schmidt-Favre s’est éteinte le 30 avril, dans sa 70e année. Un dernier hommage lui a été rendu le 5 mai, en l’église de Broc.
Marie vint au monde le 20 février 1945 au Crêt. C’est là qu’elle grandit, entourée de quatre sœurs et d’un frère. Après sa scolarité obligatoire, elle travailla dans une boulangerie de Servion, avant d’intégrer l’usine Siemens de Palézieux, puis celle d’Ammann, à Broc.
En 1971, Marie épousa Hubert Schmidt. Marlène et Fabrice vinrent ensuite agrandir la famille. Puis, pour son enchantement suprême, Marie devint la grand-maman d’Alia, de Julia, d’Hugo avec son cœur de conquérant, et de Léa. Une grand-maman patiente, persévérante, empreinte de retenue et perfectionniste. Ce désir de perfection se cristallisait dans ses jardins, mélanges de saveurs subtiles et de parfums envoûtants. S’il fallait faire appel à un avocat du diable pour en dire davantage sur Marie, lui-même ne trouverait aucun chardon dans son jardin. Tout au plus quelques orties.
Durant sa vie, Marie paya son tribut d’ennuis de santé, de craintes, non pas tellement pour elle, mais pour les autres. Pour sa sœur Eliane par exemple, qui ne l’a précédée que de quinze jours dans la mort. Les derniers mois de Marie sur cette terre furent en effet très pénibles. Atteinte de la maladie Guillain-Barré, qui provoque des tétraplégies momentanées, elle fut hospitalisée le 25 janvier. Elle lutta pour parvenir à respirer avec moins d’aide, pour communiquer ses inquiétudes et sa force. Mais, malgré son désir de s’en sortir et de revenir chez elle, la vie l’a quittée brusquement, laissant sa famille, ses proches et ses amis désemparés. Qu’ils reçoivent ici l’expression de nos sincères condoléances. GRU

Michèle Blanc

$
0
0
née Leva, Corbières

Michèle Blanc s’est paisiblement éteinte vendredi, entourée de ses proches, aux soins palliatifs de l’HFR Fribourg. Elle avait 74 ans. Un dernier hommage lui sera rendu aujourd’hui mardi, en l’église de Corbières. Michèle Blanc naquit le 27 janvier 1940, à Corbières, dans le foyer de Jules et Germaine Leva. Elle était la troisième de leurs cinq enfants. Elle accomplit sa scolarité dans son village natal, qu’elle habitera d’ailleurs toute sa vie. Michèle effectua un apprentissage de couturière à Bulle. Elle travailla ensuite quelques années comme retoucheuse avant qu’elle n’épousât Gérard Blanc, en 1967. Le couple s’installa dans le HLM communal, puis acquit une maison au village. La famille s’agrandit bientôt avec la naissance de deux enfants: Stéphane, en 1969, et François, en 1975. Dès lors, Michèle se consacra à sa famille, faisant notamment profiter ses proches de ses grands talents culinaires. En 2000, elle eut la joie d’accueillir son premier petit-fils, Léo, rejoint trois ans plus tard par Léonore. En plus de choyer ses petits-enfants, Michèle voyageait avec plaisir, jouait aux cartes, chantait au chœur mixte et arpentait les alpages pour la cueillette des champignons. Les dernières années de sa vie furent marquées par de dures épreuves. Elle accompagna son époux dans un long combat contre le cancer, de 2008 à 2011. Elle-même avait déjà dû affronter cette maladie en 2008. Hélas, cette dernière la rattrapa voilà quelques mois. A ses enfants, à sa famille et à tous ceux que le décès de Michèle Blanc laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Raphaël Buchillier

$
0
0
La Tour-de-Trême

Né dans la famille d’Auguste et Marguerite Buchillier-Progin à Vaulruz le 16 septembre 1927, dans une fratrie de sept enfants, c’est dans son village que Raphaël fréquenta l’école primaire avant d’entreprendre un apprentissage de maréchal-forgeron. Comme de nombreux jeunes fribourgeois d’alors, il alla exporter ses forces de travail au service d’un grand chantier hors du canton, celui du barrage érigé dans le val Maggia et séjourna à Lodano.
En septembre 1951, il épousa Agnès née Brasey et le foyer accueillit trois enfants: Eliane, Martial et Carmen. Plus tard, la famille s’agrandit avec la naissance de son petit-fils, Alan et bientôt, ce furent ses deux arrière-petits-fils que Raphaël eut maintes occasions de choyer, Fabien et Kilian, qui se plaisaient à lui rendre visite.
Très intéressé par la mécanique à laquelle il s’initia en autodidacte et ne ménageant pas ses efforts pour mettre ses connaissances professionnelles à niveau, il travailla auprès de la société Electrothermique à La Tour-de-Trême, collaborant notamment à la réalisation de tubes pour la NASA à l’époque du programme Apollo, activité dont il était très fier, puis auprès de la firme Sodeco-Saia, à Bulle.
Fin bricoleur connu loin à la ronde, il ne rechignait jamais à faire profiter son entourage de ses talents. C’est ainsi qu’il inventera notamment un pneu à revêtement antidérapant et, plus récemment, un dispositif d’économie d’eau sanitaire.
Au début des années 1960, le chantier de la maison familiale l’occupa, lui et son épouse, des heures durant. Menuiserie, électricité et travaux extérieurs ne le rebutaient pas. Homme de caractère, il ne faisait pas démonstration de ses sentiments mais loin d’être taciturne, il appréciait la compagnie, pratiquant le ski aux Alpettes, puis à a La Chia et joua de la trompette en si dans la société de musique de son village d’adoption tout en restant attaché au chœur mixte de son village. Encore récemment, il jouait chaque semaine au jass et retrouvait les amis de la table ronde  d’un café bullois avec lesquels il refaisait le monde.
Bien que bénéficiant d’une relative bonne santé jusque-là, son endurance et sa volonté furent durement ébranlées au cours de la semaine pascale par la maladie. Ses forces le quittant peu à peu, il dut être hospitalisé à plusieurs reprises. Accompagné par l’amour de sa famille et plus particulièrement, par sa fille Eliane, c’est paisiblement qu’il s’est éteint le 26 mai, dans sa 87e année à l’HFR de Riaz. GRU

Marie-Rose Galli

$
0
0
née Ayer, Bulle

Marie-Rose Galli-Ayer s’est paisiblement endormie le jeudi 22 mai, à l’hôpital de Riaz, entourée de sa famille. Elle était dans sa 86e année. Un dernier hommage lui a été rendu lundi dernier, en l’église de Bulle.
Marie-Rose naquit le 8 avril 1929, à la rue Sciobéret à Bulle, dans le foyer d’Hélène et Hyppolite Ayer. Elle avait deux frères, mais l’un d’eux décéda à la naissance. Après sa scolarité obligatoire suivie à Bulle, Marie-Rose œuvra au sein de la chocolaterie à Broc. A l’âge de 18 ans, elle perdit sa maman et s’occupa alors de son papa jusqu’à son décès.
En 1949, elle unit sa destinée à Ugo Galli, originaire du Tessin, en la chapelle des Marches, à Broc. De cette union naquirent trois filles: Marie-Hélène, Elisabeth et Jacqueline. Marie-Rose Galli eut le grand bonheur de connaître huit petits-enfants et dix arrière-petits-enfants. En 1994, elle eut le chagrin de perdre son époux.
Sa vie fut bien remplie par l’entretien de sa maison et de son jardin. Le tricot, les jeux de cartes, les lotos, les pique-niques avec les mycologues, les sorties avec l’Union ouvrière ainsi que la Pro Ticino lui procuraient également d’énor­mes plaisirs. Pour subvenir aux besoins de sa famille, Marie-Rose Galli n’a pas hésité, en plus de ses charges familiales, à faire des ménages et à collaborer à la cuisine du Café de la Promenade, à Bulle. L’été, elle allait aider son époux, concierge pour les écoles primaires, dans le cadre des grands nettoyages. Malgré toutes ses occupations, elle avait toujours du temps disponible pour sa famille. Que d’heu­res passées en compagnie de ses petits-enfants et arrière-petits-enfants dont elle était fière. Elle restera un exemple pour eux comme pour ses enfants.
A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le départ de Marie-Rose Galli laisse dans la peine, La Gruyère témoigne sa sympathie. GRU

Hélène Donzallaz

$
0
0
née Marchon, Riaz

Hélène Donzallaz s’est éteinte paisiblement et entourée de toute sa famille mardi, à l’aube de ses 96 ans, au Foyer St-Joseph, à Sâles. Un dernier hommage lui a été rendu vendredi en l’église de Riaz.
Hélène Donzallaz naquit le 16 juillet 1918, à Vuisternens-en-Ogoz. Elle était l’aînée d’une famille de sept enfants. A la mort de sa maman, à l’âge de 43 ans, elle fut une seconde mère pour ses frères et sœurs, alors qu’elle n’avait que 20 ans.
En 1944, elle unit sa destinée à Louis Donzallaz et eut le bonheur d’avoir deux enfants, rejoints plus tard par trois petits-enfants et deux arrière-petits-fils. Hélène seconda son époux avec compétence à la gravière du Bry. En 1961, à Riaz, elle eut la douleur de le perdre. Elle surmonta cette épreuve avec courage, soutenue par ses enfants. Elle travailla ensuite durant une vingtaine d’années à l’Innovation, à Bulle, ainsi qu’un an à la cafétéria de l’hôpital, à Riaz.
Durant sa longue retraite, Hélène participa à la gym des dames, à Riaz, et à la Vie montante dans la paroisse du village. Elle appréciait également les parties de cartes avec ses voisines.
Après une mauvaise chute au mois de février, elle dut être hospitalisée, puis rejoignit le Foyer St-Joseph, à Sâles pour un dernier bout de chemin assez pénible. Elle fut accompagnée par un personnel dévoué jusqu’à ses derniers instants, jusqu’à un ultime au revoir à sa famille.
A ses enfants, à ses proches, à tous ceux que le décès d’Hélène Donzallaz laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Viewing all 1696 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>