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Marcel Oberson

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Rueyres-Treyfayes

 

Marcel Oberson s’est paisiblement endormi lundi, entouré des siens, à l’HFR Riaz. Il était âgé de 86 ans. Un dernier hommage lui a été rendu mercredi, en l’église de Sâles.

Marcel Oberson y était né le 1er avril 1931, dans le foyer du laitier Oscar et de Marie Oberson. Il grandit entouré de ses neuf frères et sœurs. Ses étés d’adolescent énergique passés sur les alpages de ses oncles lui donnèrent le goût de l’agriculture. Ainsi, sa scolarité obligatoire terminée, en partie suivie à La Gouglera pour l’allemand, il partit travailler dans une ferme à Sempach (LU). Une période clé qui marqua durablement sa vie. Il y développa, par exemple, ses talents de gymnaste. Il s’adonna une grande partie de sa vie à ce sport, s’investit dans la Société de gym de Sâles et, plus tard, transmit le virus à ses enfants et petits-enfants.

A son retour en Gruyère, Marcel Oberson fit la connaissance de Monique Gapany, de Rueyres-Treyfayes. Ils se marièrent en 1955. Huit enfants vinrent bientôt agrandir la famille, suivis par 21 petits-enfants et dix arrière-petits-enfants.

Papa sévère, mais très aimant, Marcel Oberson n’était pas avare de son temps, pourtant compté, pour partager un pique-nique, emmener ses enfants ou leur rapporter quelques petits cadeaux de la foire.

Marcel Oberson ne chômait pas. Après la reprise du domaine de son beau-père, il ne cessa de le développer jusqu’à sa remise à son fils Alfred en 1995. Et même après, d’ailleurs. Précurseur dans le secteur de l’élevage, il fut président du syndicat. Durant vingt-deux ans, chaque été, avec son épouse, il passait un mois sur l’alpage du Gobalet. Un moment de partage avec toute la famille, qui en conserve un souvenir impérissable.

Le décès subit de sa femme, en 2009, fut un premier choc dans la vie de Marcel Oberson. Son départ laissa un grand vide. Il montra alors toute sa force de caractère et s’employa à rester autonome, avec l’aide quotidienne de sa famille et de ses amis, pour les repas et les parties de cartes.

Déjà frappé par des problèmes cardiaques, Marcel Oberson connut la maladie en 2013. Malgré le cancer, il se battit pour revenir à la ferme et y parvint. Ce printemps, il dut faire face à une récidive. Malgré le décès de son petit-fils Benoît, qui le toucha au plus haut point, il choisit d’être opéré. Les complications eurent finalement raison de son courage et il s’éteignit, accompagné par sa famille.

Celle-ci conservera de Marcel Oberson l’image d’un homme de la terre, curieux et ouvert, qui sut transmettre des valeurs de loyauté, de respect et de confiance en la vie.

A elle, à ses proches et à tous ceux que le décès de Marcel Oberson laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU


Armand Moret

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Gland

Armand Moret s’est endormi paisiblement le vendredi 16 juin, à l’hôpital de Nyon, après une courte hospitalisation. Un dernier hommage lui sera rendu le 20 juillet, au cimetière de Riaz. Ses cendres seront déposées sur la tombe de sa sœur Huguette.
Armand naquit le 28 avril 1930, à Vuadens, dans le foyer d’Emile et Marie Moret-Genoud. Il était le second d’une fratrie de trois enfants. Après avoir suivi son école obligatoire dans son village natal, il seconda son frère Gaston et ses parents sur l’exploitation agricole. Son école de recrues terminée, Armand Moret quitta Vuadens pour la région de Morges, où il passa son permis de poids lourd. Les vingt dernières années de sa carrière il les passa au sein de la société familiale Page en tant que chauffeur mécanicien.
En 1957, il épousa Erika Adam, union qui dura jusqu’en février 1975. En 1986, Armand Moret eut la grande douleur de perdre son frère Gaston ainsi que, tout récemment, sa sœur Huguette. Passionné de jardinage, il ne manquait pas de s’évader régulièrement dans les régions de Martigues et de Marseille, où il retrouvait ses amis Gérard et Denise ainsi que sa filleule Sylvie. Armand Moret laissera aux siens le souvenir d’un homme d’une gran­de générosité et d’une force tran­quille qui imposait le respect. Selon son désir, la crémation a eu lieu à Morges. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Armand Moret laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Gilbert Favre

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Bouloz

Gilbert Favre est décédé subitement le 20 juin dernier à la suite d’un malaise cardiaque. Un dernier hommage lui a été rendu le 23 juin, en l’église de Porsel.

Gilbert est né le 2 décembre 1947 dans le village du Crêt. Il a grandi dans une famille nombreuse (six demi-frères et sœurs ainsi que deux frères). Après son école obligatoire, il effectua avec succès un apprentissage de mécanicien sur automobiles. Il était très appliqué et avait un sens aigu des responsabilités. Il aimait son métier.

En 1969, après son école de recrues, il épousa Carmen Currat. De cette union sont nés deux enfants: Sébastien et Isabelle. Petit à petit, la famille s’agrandit par la venue de cinq petits-enfants qui furent ses rayons de soleil. Gilbert avait un grand cœur et il a fait de son mieux pour offrir à sa famille tout ce dont elle avait besoin.

Durant son existence, Gilbert Favre a dû surmonter plusieurs épreuves. Du côté professionnel, c’est avec regret qu’il a dû, après trente-deux ans, s’orienter vers la mécanique de précision. Cela n’a pas été facile au début, mais, grâce à son application et à sa persévérance, il a réussi à acquérir les compétences nécessaires et à devenir un employé très apprécié.

Il ne fut pas épargné non plus par les accidents et la maladie, notamment en 1990. Gilbert était passionné par le sport: d’abord le tir, puis le football, la course à pied, la randonnée en montagne, le cyclisme et le ski alpin qu’il aimait tant. Là aussi, il s’est beaucoup engagé, soit comme président soit comme membre dans différents comités. A Bouloz, il a également été membre du Conseil com­munal durant neuf ans.

La semaine précédant son décès, un petit séjour à Saas Fee l’avait ravi. Il affectionnait particulièrement le canton du Valais dans lequel il a effectué de nombreuses activités et excursions, dont une mémorable: l’ascension du Bishorn, en 2010, en compagnie de son épouse, de son beau-frère Binbin, en tant que guide, et de la fille de celui-ci.

En plus de ses talents de jardinier, Gilbert possédait encore bien d’autres qualités. Il laissera le souvenir d’un homme d’une grande bonté, très actif, serviable et toujours soucieux du bien-être de ses proches. A sa famille et à tous ceux que le départ de Gilbert Favre laisse dans la peine, La Gruyère adresse ses messages de sympathie. GRU

Hubert Granget

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Vuadens

Hubert Granget s’est éteint le 21 juin, au Foyer Saint-Vincent de Vuadens, à l’âge de 71 ans. Il a été incinéré dans l’intimité et son urne a été placée sur la tombe de ses parents au cimetière de Fétigny. Fils de Maurice et Anna Granget, née Curty, Hubert vint au monde le 16 mars 1946, à Fribourg. Il faisait partie d’une fratrie de quatre garçons qui comprenait Francis, décédé en bas âge, Jean-Marc et Claude. Hubert commença son école primaire à Essertines-sur-Rolle et la poursuivit, dès 1954, à Fétigny où la famille s’était installée. Après son école secondaire, accomplie à Estavayer-le-Lac, Hubert fit un apprentissage de maçon à Payerne, au sein de l’entreprise Barbonesi. Par la suite, il travailla chez Pessina, à Combremont-le-Grand, et chez Pittet, à Siviriez.
Hubert Granget était très actif dans les sociétés de son village. Que ce soit le tir, où il fut moniteur des jeunes, mais aussi la musique. Très bon tromboniste, il joua plusieurs années avec ses deux frères à la Fanfare de Fétigny. Il exerça encore ses talents de souffleur à Combremont, à Vuadens ou encore à Bulle, tant pour le Corps de musique de la ville que pour la guggen La Ronflante. De son mariage en 1967 avec Marie-Rose Morard naquirent trois enfants: Nathalie, qu’il n’eut pas le bonheur de voir grandir, puis Sylvie et Didier. Hubert eut aussi la joie d’avoir trois petits-enfants et il fut très fier de fêter la naissance de son arrière-petit-fils Enzo en janvier dernier. En 1977, ce fut le départ pour Bulle où Hubert avait été engagé dans une grande entreprise de construction. Il fut victime d’un grave accident sur un chantier à la route de Vuippens. Après des semaines d’hôpital, il s’en sortit miraculeusement. Grâce à sa volonté, il put se réinsérer dans la vie active comme dessinateur en génie civil. Mais le sort continua de s’acharner contre lui. Déjà très diminué physiquement et moralement, après son terrible accident et un divorce, Hubert Granget eut un deuxième accident: une partie de son cerveau s’en trouva endommagée et il dut se résigner à entrer en institution. Ce fut d’abord la Fondation HorizonSud, à Marsens, où il exécuta de petits travaux en atelier. A sa retraite, il quitta Marsens pour le Foyer Saint-Vincent, à Vuadens. Hubert y était très entouré par sa famille, notamment par ses frères. C’est en présence de ses deux enfants Sylvie et Didier qu’il a rendu son dernier soupir. A eux, à sa famille, à tous ceux que le départ d’Hubert laisse dans la peine, La Gruyère adresse sa sympathie. GRU

Eugenio Pedrucci

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Epagny

Eugenio Pedrucci s’est éteint vendredi au Home de l’Intyamon, à Villars-sous-Mont. Il cheminait dans sa 93e année. Un dernier hommage lui est rendu aujourd’hui mardi, en l’église de Gruyères. Aîné d’une famille de quatre enfants, Eugenio Pedrucci a vu le jour le 17 mars 1925 à Chivro, province de Sondrio, en Italie. Très jeune, il travailla à la construction de barrages pour centrales hydroélectriques dans son pays natal. Lorsque la guerre se déclara, il vint se réfugier en Suisse. Par la suite, la paix revenue, Eugenio Pedrucci partit en Belgique œuvrer dans les mines de charbon. Il revint ensuite travailler comme saisonnier en Suisse, sur les chantiers de l’entreprise Jean Pasquier. En 1954, Eugenio Pedrucci unit sa destinée à Cécile Murith. Deux fils naquirent de leur union, dont un décéda en bas âge. La disparition de son épouse, en 1997, l’affligea au plus haut point. Grand-père de trois petits-enfants, il les chérissait autant que ses trois arrière-petites-filles. Ses passe-temps favoris étaient la pêche, les lotos, la cueillette des champignons et des baies des bois. Il appréciait de préparer lui-même son bois de chauffage. Depuis le mois d’avril, sa santé s’étant fortement dégradée, Eugenio Pedrucci vivait au Home de l’Intyamon, où il rendit son dernier souffle. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Eugenio Pedrucci laisse dans la peine, La Gruyère dit sa profonde sympathie. GRU

Berthe Gapany

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Bulle

Au soir du 18 juillet, Berthe Gapany s’est éteinte sereinement, entourée de l’amour des siens et de l’empathie du personnel soignant. Résidente de la Maison bourgeoisiale à Bulle, elle était hospitalisée depuis une semaine à Riaz. Elle était dans sa 92e année. Un dernier hommage lui a été rendu vendredi dernier en l’église de Vuippens. Berthe naquit le 2 mars 1926, dans la famille de Raymond et Marie Gapany, sur les hauts de Marsens, en Chamufens. Elle était la deuxième d’une fratrie de onze enfants. Jusqu’à ses 24 ans, elle travailla sur le domaine familial, aidant sa maman dans les tâches quotidiennes. Puis, elle partit à Berne dans la famille d’un médecin, où elle resta onze ans. De retour en Gruyère, elle s’installa à Bulle. Elle effectua l’école d’aide familiale et pratiqua ce métier jusqu’à sa retraite. Durant ses temps libres, elle fit de nombreux voyages et aimait passer du temps avec ses amis. Sa famille, ses anciens collègues de travail et plusieurs membres de familles pour lesquelles elle travailla lui rendirent un bel hommage lors de son dernier voyage. A tous ceux que le décès de Berthe Gapany laisse dans la peine, La Gruyère dit sa sympathie émue. GRU

René Descloux

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Romanens

Rien ne laissait présager du départ prématuré de René Descloux. Il est décédé des suites d’un AVC le 3 juillet à l’Hôpital de l’Ile, entouré de sa famille. Un dernier hommage lui a été rendu le 6 juillet. Né le 20 mars 1958, René était le fils d’Adrien et Alice Descloux, de Romanens. Demeuré célibataire, il fut une aide précieuse pour ses parents, qu’il respectait profondément. Après le décès de ceux-ci, il remplit le rôle de pilier familial pour ses frères et sa sœur. De caractère réservé, il n’intervenait pas dans la vie de ses proches, mais se souciait d’eux. Après une brillante scolarité pourtant inachevée, il entreprit, à l’âge de 15 ans, une formation d’employé de commerce. L’entreprise de meubles bulloise qui l’a formé et employé durant vingt ans, lui permit de découvrir Le Locle avant de le rappeler à Bulle. Plus tard, il entama le second volet de sa vie professionnelle en officiant durant vingt ans au service des curatelles où il était unanimement apprécié par ses collègues pour son professionnalisme, sa disponibilité, sa discrétion et sa gentillesse. René appréciait le sport, tout particulièrement le football, qu’il pratiqua durant plusieurs années faisant même un passage en ligue supérieure. Il avait également une passion pour les matches aux cartes dont il revenait souvent victorieux. Il aimait aussi débattre de politique et pour concrétiser cet intérêt pour la chose publique, il se mit au service de sa commune durant dix-neuf ans. Toute sa vie, René fut un modèle de dévouement. Il sut se mettre au service des autres tout en restant modeste et humble. A tous ceux qui pleurent son départ, nous disons notre sympathie émue. GRU

Francis Favre

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Le Crêt

Francis Favre est décédé au Foyer Saint-Joseph, à Sorens, le 19 juillet. Il avait 87 ans. Un dernier hommage lui a été rendu samedi en l’église du Crêt. Francis Favre a vu le jour le 9 août 1929 au Crêt, dans le foyer de Vincent et Brigitte Favre-Cardinaux. Il était le quatrième enfant d’une fratrie de six. Né dans une famille paysanne, il travailla la terre sur le domaine familial durant toute sa vie. Francis Favre fut le président fondateur des Armaillis de la Veveyse et de la fanfare du Crêt. Dans sa jeunesse, on avait même pu l’apercevoir sur scène lors des fameux théâtres villageois. A l’armée, Francis Favre faisait partie du corps des dragons et il fut membre de la société de cavalerie. Il comptait également le chant au nombre de ses passions. Il se produisit durant plusieurs années avec le quatuor, puis le trio, des Armaillis. Pour sa famille, il entonnait volontiers Le forgeron ou le Ranz des vaches. Tout récemment, il chanta encore au home à Sorens, avec plaisir et sans oublier une parole. Francis Favre ne manquait pas de mémoire. Il pouvait même être considéré comme celle de sa commune. Il s’y était d’ailleurs investi comme syndic. Il fut également élu au Grand Conseil fribourgeois. Francis Favre ne fut jamais emprunté pour prendre la parole en public. Quel temps consacré aux autres et quelle énergie il dut déployer pour arriver à conjuguer son exploitation et sa vie associative! La conservation du patrimoine culturel régional lui tenait à cœur. Francis Favre dispensa ainsi des cours de patois pendant une longue période. Homme de caractère, il défendait jusqu’au bout ses idées, avec conviction. Par gentillesse, il accueillit un ami, Jean-Marie, dans sa maison en 1975. Durant de nombreuses années, ils furent inséparables. Au printemps 2015, la force lui manqua pour continuer à vivre dans la ferme familiale. Il dut se résoudre à rejoindre le home de Sorens, où il rendit son dernier souffle. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès de Francis Favre laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU


Gaspard Bozier

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Broc

Gaspard Bozier s’est éteint le samedi 15 juillet, à la suite d’un malaise cardiaque. Il avait 75 ans. Un dernier hommage lui a été rendu le 18 juillet, en l’église Saint-Othmar de Broc. Gaspard Bozier est né la veille de Noël, le 24 décembre 1942, dans le foyer de Paul et Marie Bozier. Il était entouré d’un frère et de deux sœurs. Après une scolarité accomplie à Broc, Gaspard entreprit un apprentissage de boulanger-pâtissier. Mais, c’est plus particulièrement le métier de cuisinier qui l’occupera par la suite. Un métier qu’il apprit sur le tas, à force de passion. Après avoir travaillé à l’usine Dyna puis à la Nestlé, il fut ainsi responsable du restaurant de l’ancien motel d’Epagny. Par la suite, il passa treize années en tant que gérant de l’ancien restaurant Coop à la Grand-Rue, à Bulle. Enfin, il exerça en tant que chef cuisinier au Foyer de La Rose des Vents à Broc jusqu’au jour de sa retraite. Il était très apprécié des résidents. Gaspard cherchait toujours à leur faire plaisir, organisant notamment leurs fêtes d’anniversaire et de famille. Quand il n’était pas derrière les fourneaux pour son travail, Gaspard Bozier en retrouvait d’autres pour rendre service. On faisait beaucoup appel à lui pour organiser la cuisine dans les cantines, à l’occasion de manifestations telles que des fêtes de musique. Gaspard organisait aussi de nombreux banquets pour des mariages. Son mariage à lui, il le célébra en 1966. De cette union naquirent deux enfants, Martine et Dominique. Puis vinrent quatre petits-enfants auxquels il tenait comme à la prunelle de ses yeux. Par la suite, Gaspard divorça. Puis il rencontra Eliane Aviolat, avec laquelle il partagea trente ans de sa vie. Durant ses loisirs, Gaspard Bozier aimait skier avec ses amis. Ensemble, ils se déplaçaient également volontiers pour suivre les compétitions. Dans son pied à terre au Bouveret, Gaspard aimait recevoir ses proches et, plus que tout, organiser la bénichon. Aimable, généreux et disponible, Gaspard Bozier laisse le souvenir de quelqu’un toujours prêt à rendre service. A sa famille et à tous ses proches, La Gruyère adresse sa sympathie. GRU

Louis Mauron

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Le Châtelard

Louis Mauron s’en est allé le 24 juillet à l’âge de 95 ans. Un dernier hommage lui a été rendu jeudi, en l’église du Châtelard. Louis Mauron vit le jour le 5 septembre 1922 dans le foyer de Cécile et Ernest Mauron, à Villaraboud. Il était le cadet d’une fratrie de neuf enfants. Il suivit sa scolarité dans son village. Dès son plus jeune âge, il aida aux travaux de la ferme. A 16 ans, il commença son apprentissage de boulanger, tout d’abord à Marsens, puis à la boulangerie de Billens, qu’il reprit à son compte durant trois ans. C’est durant cette période qu’il unit sa destinée à Agnès Crausaz, de Lussy. Durant ses premières années de mariage, le couple ne fut pas épargné par les épreuves car il eut la douleur de perdre ses deux premiers enfants, Jean-Pierre et Marie-Jeanne, en bas âge. Il surmonta ces moments difficiles et donna naissance à cinq autres enfants. Par la suite, Louis et Agnès eurent la joie d’accueillir 13 petits-enfants et cinq arrière-petits-enfants. C’est lorsque Louis avait 26 ans que les époux décidèrent de reprendre la boulangerie du Châtelard. Pendant plus de quarante ans, les habitants du village et des environs purent ainsi apprécier un pain qui valut à Louis d’être nommé chevalier du bon pain en 1975. En outre, il était également connu loin à la ronde pour ses délicieuses meringues.
En 1987, le couple prit une retraite bien méritée, mais Louis resta longtemps actif à la confection de ses meringues et autres biscuits. Il fut toujours un passionné de sport, surtout de foot et des matches de Gottéron qu’il suivait assidûment à la radio.
En février 2012, Louis et Agnès, sentant leurs forces diminuer, décidèrent de rejoindre le home de Billens. Deux mois plus tard, Louis eut l’immense chagrin de perdre son épouse. Il passa les cinq dernières années de son existence entouré de sa famille, de ses amis et de tout le personnel de l’institution. A tous ceux qui pleurent la disparition de Louis Mauron, nous disons notre sympathie émue. GRU

Marie- Antoinette Caille

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La Tour-de-Trême

Mercredi dernier, la famille et les amis de Marie-Antoinette Caille se sont réunis en l’église de La Tour-de-Trême pour lui rendre un ultime hommage. Elle s’est endormie le 30 juillet, alors qu’elle cheminait dans sa 94e année. Marie-Antoinette est née le 17 décembre 1923, dans la famille de Paul et Marie Caille-Ruffieux, à La Tour-de-Trême. Elle accomplit sa scolarité dans son village natal, puis étudia le piano au Conservatoire de Lausanne. Son diplôme en «Normale» réussi, elle enseigna cet instrument pendant six ans. Désireuse de vivre plus intensément sa foi chrétienne, Marie-Antoinette entra en religion dans la congrégation des dominicaines des campagnes, en France. Pendant vingt ans, elle vécut sa mission dans les régions de Bourgogne, de Savoie et de Normandie avec intensité et joie. Mais, en mai 1968, les événements obligèrent les ordres religieux à adopter des changements radicaux, qui décidèrent le retour en Suisse de Marie-Antoinette Caille. Elle travailla alors à Fribourg, dans un cabinet d’orthophonie. Au décès de son employeuse, elle revint en Gruyère, à La Tour-de-Trême, où elle eut le bonheur de faire la connaissance d’abord des petites filles Sada, fraîchement arrivées du Kosovo, puis de leurs parents. Ce fut le début d’une belle amitié entre Marie-Antoinette et les membres de cette grande famille qui devint la sienne et qui la considéra comme une grand-mère. «Marie» fut choyée et soutenue avec un dévouement sans faille, jusqu’à son décès. Pour tant d’amour donné sans compter, les proches de Marie-Antoinette leur témoignent une immense reconnaissance et les remercient du fond du cœur. Marie-Antoinette Caille s’est endormie entourée de ses familles et de ses amies. Elle se trouve maintenant dans la plénitude de son espérance chrétienne. Nous adressons notre sympathie à tous ceux que son départ laisse dans la peine. GRU

Marguerite Périsset

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née Gruber, Ursy

Le 20 juillet, l’église d’Ursy était comble pour rendre un dernier hommage à Maguy, née le 8 juillet 1933 à Schmitten, dans le canton des Grisons. Dans ces montagnes, elle grandit avec ses quatre frères et deux sœurs et, après ses écoles, elle travailla dans l’hôtellerie, notamment à Genève où elle apprit le français.

Arrivée à Interlaken, elle rencontra René Périsset, alors cuisinier à l’hôtel où elle travaillait. Ils se marièrent à Ursy en 1957 et de cette union naquirent Gilbert, Aloïs, Charly, Rita et Joseph. Ils vécurent les premières années de leur mariage à Morat, puis à Châtel-Saint-Denis au Restaurant de La Place durant dix ans.

En 1974, Maguy et René reprirent le Restaurant familial La Pinte du Reposoir, à Ursy. Ils y restèrent jusqu’en 1989, date à laquelle ils prirent une retraite bien méritée.

En tant que restauratrice, Maguy travailla énormément et elle considérait son personnel comme sa propre famille. Malheureusement, René fut atteint dans sa santé et décéda le 13 novembre 1996. Maguy continua courageusement son chemin, puisant une grande confiance dans sa foi en Dieu. Voir grandir ses 11 petits-enfants, Elodie, Marion, Ludivine, Justine, Aline, Michael, Sheila, Karen, Bastien, Valentin et Simon, ainsi que son arrière-­petite-fille Iris, lui apporta beaucoup de joie. Très attachée à la vie du village, elle fut également nommée membre d’honneur du chœur mixte et de la fanfare d’Ursy.

Maintenant, Marguerite Périsset s’en est allée au jardin du paradis pour s’y occuper des fleurs et des plantes qu’elle appréciait tant… 

A tous ceux que son départ laisse dans la peine, nous disons notre sympathie émue. GRU

Lucie Maillard

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née Dénervaud, Vuadens

Lucie Maillard s’en est allée paisiblement le 9 août, entourée de sa famille, à l’âge de 87 ans. Un dernier hommage lui sera rendu ce samedi en l’église de Vuadens.

Lucie est née le 16 juillet 1930 à Villaraboud, dans la famille d’Olivier et Alice Dénervaud. Cadette d’une fratrie de cinq enfants, elle travailla principalement à la ferme paternelle.

En 1954, elle épousa André Maillard, de La Rougève, avec qui elle eut la joie d’avoir cinq enfants. Ensemble, ils vécurent à Grandvaux, puis à Bulle où elle tint le magasin de quartier à la rue Albert-Rieter. En 1960, la famille déménagea à Vuadens. Elle s’occupa de ses enfants, avec une attention particulière pour sa fille Annelyse, handicapée de naissance.

Lucie accordait une très grande importance aux réunions de famille et se plaisait à rassembler ses proches. Pour rien au monde, elle n’aurait renoncé aux repas de Pâques, de la bénichon et de Noël. Sa moutarde de bénichon, ses bricelets, ses cuquettes et bien d’autres gourmandises qu’elle préparait charmaient le palais de ceux à qui elle les offrait.

A tous ceux que le décès de Lucie Maillard laisse dans la peine, La Gruyère dit sa sympathie émue. GRU

 

Monique Oberson

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née Dafflon, La Ttour-de-Trême

Au petit matin du 19 août 2017, Monique Oberson s’est éteinte paisiblement à l’Hôpital de l’Ile, à Berne, où elle était hospitalisée depuis une semaine à la suite d’un accident cardiaque. Monique Oberson est née à Marsens, le 11 juin 1950, cadette des quatre enfants d’Oscar et Maria Dafflon-Bifrare. Après sa scolarité obligatoire, elle a occupé divers emplois dans des entreprises régionales, WIB, Electroverre puis Nestlé, à Broc, durant vingt-cinq ans. Elle unit sa destinée le 12 juillet 1968 à Francis Oberson. De cette union naquirent deux enfants, Charly et Christian. C’est avec joie qu’elle a accueilli ses trois petits-enfants. En 1993, elle eut la douleur de perdre son frère aîné, âgé de 50 ans. Après une séparation, elle rencontra son compagnon, Jean, avec qui elle partagea sa vie tout en continuant son activité jusqu’à l’âge de la retraite. Un parcours qui s’arrêta soudain, avec cet accident cardiaque survenu le 12 août dernier et qui a nécessité son hospitalisation d’urgence. Monique Oberson laisse le souvenir d’une personne au caractère bien trempé qui lui donnait la force de surmonter les épreuves et les difficultés de la vie avec ténacité. Sa jovialité et sa cordialité, son souci de faire plaisir étaient appréciés par son entourage. Elle avait toujours un grand plaisir à revoir ses anciennes collègues de travail et ses amis pour passer quelques bons moments de convivialité et faire la causette. Son centre d’intérêt principal était sa famille, ses enfants et petits-enfants. Un grand plaisir était de pouvoir les réunir à l’occasion de fêtes et de rappeler que, si la vie avait parfois été dure, elle avait aussi de beaux côtés – la rencontre, l’entraide et l’amitié. Elle appréciait aussi les bons moments passés à la «roulotte», à Broc, en compagnie de Jean, de leurs familles et de leurs amis. A tous ceux que son départ laisse dans la peine, La Gruyère adresse ses messages de profonde sympathie. GRU

Michel Pittet

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Berlens

Michel Pittet s’en est allé au soir du 13 juillet, à son domicile, entouré de l’amour des siens. Il avait 69 ans. Né le 20 avril 1948 à Vuisternens-devant-Romont, dans la ferme du Poyet, il était le troisième des cinq enfants d’Emile et Marie Pittet-Bapst. Après son enfance passée au village, il entra, à 20 ans, au service des GFM, devenus depuis les TPF. Il y restera quarante-quatre ans. D’abord comme chauffeur au service des déménagements, puis très vite comme conducteur de bus, tantôt sur les lignes régulières, tantôt au service des cars de tourisme où il sillonna l’Europe. En 1974, il épousa Elisabeth Buchs, une enseignante bulloise en place à Vuisternens, rencontrée un an plus tôt. Ensemble, ils auront des jumeaux et une fille. Après de longues années dans la villa construite au village, la famille déménagea en 2000 à Berlens, dans une vieille ferme que Michel aidera à rénover et où sa fille s’adonnera à l’équitation. Mais sa passion, à lui, c’était la conduite. Au volant, il ne voyait pas le temps passer. Avec sa famille, il préférait les petites routes aux autoroutes, pour le plaisir de la découverte. A la retraite, même malade, il conduisit bénévolement le véhicule du Passepartout de la Glâne ainsi que ceux des Rencontres folkloriques de Fribourg. Il répondait toujours présent lorsque les TPF avaient besoin de renforts pour le transport des écoliers ou lors de grands événements. Le volant lui faisait du bien. Très serviable, il joua cinquante-et-un ans à la Lyre de Vuisternens, fut vingt-deux ans membre du conseil de paroisse, dont dix comme président, avant de rejoindre celui de Berlens. Réservé, il aimait aussi les balades en montagne et le ski. Très attaché à sa famille, il fut bouleversé par la mort, en 2007, de l’un de ses fils dans un accident de moto. C’est peu de temps après que la maladie se déclara. Pourtant, jamais il ne s’en plaindra, l’affrontant avec courage et dignité. A tous ceux que son départ laisse dans la peine, La Gruyère exprime sa vive sympathie. GRU


Sylvain Beaud

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Bulle

Entouré de l’amour des siens, Sylvain Beaud s’est éteint sereinement. Il cheminait dans sa 89e année. Un dernier hommage lui sera rendu aujourd’hui mardi, en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle. Sylvain Beaud vit le jour le 30 octobre 1928 dans la famille de François et Marie Beaud-Amey, à Albeuve. Il était le cadet d’une fratrie de six enfants. En 1957, il unit sa destinée à celle de Bernadette Robadey, de Lessoc. De cette union naquirent trois fils: Daniel, Michel et Dominique. Le cercle s’agrandit de dix petits-enfants et de cinq arrière-petits-enfants que Sylvain chérissait de tout son cœur. Dans sa jeunesse, il avait occupé un emploi à l’ébénisterie Gremion, à Neirivue. A cette époque, il développa également ses talents de skieur de fond au ski club d’Albeuve-Neirivue. En 1953, il fut vice-champion suisse de relais à Grindelwald et champion suisse de patrouille militaire à Andermatt. En 1956, Sylvain accomplit son école d’aspirant à la Police cantonale fribourgeoise. La même année, il fut rattaché au poste de Bulle, puis fut muté à Semsales et à Broc. En 1978, il fut nommé responsable de la gendarmerie de Bulle et des agents de la Gruyère. Il exerça sa profession en donnant le meilleur de lui-même pour que les valeurs de respect, de justice et d’équité soient observées et en ne perdant pas de vue l’aspect humain. A sa retraite, en 1988, il s’engagea comme chauffeur pour la Fondation PassePartout Gruyère. Il mit aussi ses talents d’ébéniste au service de ses enfants pour l’entretien de leur maison. Sylvain avait la main verte. Les promenades en montagne avec son épouse étaient un incontournable de la belle saison. Il se rendait régulièrement aux Prés d’Albeuve, au chalet du ski club Lys, dont il était membre d’honneur. Ces dernières années, les décès de ses cinq frères et sœurs l’avaient particulièrement affecté. Sylvain eut toutefois la chance de garder son indépendance et de profiter pleinement de la vie jusqu’à ce printemps. Au début juin, il fêta ses 60 ans de mariage entouré de toute sa famille. Epoux, papa et grand-papa attentionné, il laisse tout le bonheur et l’amour qu’il a semés autour de lui. Que tous ceux qui pleurent son départ reçoivent ici nos sincères condoléances. GRU

Marthe Menoud

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née Guillaume, Bulle

Marthe Menoud s’est éteinte à son domicile, dans la nuit de vendredi à samedi. Elle venait de fêter son 90e anniversaire, entourée de tous ses proches. Un dernier hommage lui sera rendu aujourd’hui en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Marthe est née le 27 juillet 1927 à Villaraboud. Dans le foyer d’Emile et de Jeanne Guillaume, elle a grandi entourée de neuf frères et sœurs. Marthe perdit sa maman à 9 ans. Elle fut alors élevée par de la famille proche et placée très tôt auprès de différentes familles. Elle a ensuite travaillé, dès l’âge de 15 ans, à l’hôpital de Marsens. En 1949, Marthe a uni sa destinée à celle de Joseph Menoud. De leur union naquirent trois enfants: Serge, décédé en 2014, Odette et Roland. La famille s’agrandit encore de cinq petits-enfants et de six arrière-petits-enfants. Le couple s’installa d’abord à Bulle, avec la maman de Joseph, puis il déménagea à La Verrerie et à Sâles, au gré des affectations du père de famille. A l’heure de la retraite, le couple décida de revenir à Bulle où il vécut heureux jusqu’au décès de Joseph, en 2009. Très dévouée, Marthe s’est occupée avec bienveillance de toute sa famille. Elle prit notamment soin de sa belle-mère et de son mari lorsque la maladie les frappa. Elle aimait cuisiner de bons petits plats et recevoir sa famille pour des repas conviviaux. Toujours positive et de bonne humeur, elle remontait le moral à toutes les personnes qui frappaient à sa porte ou qui l’appelaient. Grâce au personnel du Réseau santé et social de la Gruyère, Marthe Menoud a eu la chance de pouvoir rester à son domicile jusqu’à son dernier souffle. Que tous ceux que son départ laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre profonde sympathie. GRU

Philomène Savary

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née Pittet, Sâles

Quelques jours après avoir fêté son centième anniversaire, Philomène Savary s’est éteinte samedi au Foyer Saint-Joseph à Sâles, entourée de sa famille. La cérémonie du dernier adieu aura lieu mercredi en l’église de Sâles. Philomène Savary est née en 1917, à Romont. Dans le foyer de Vincent et Séraphine Pittet, elle a grandi au côté de son frère et de ses quatre sœurs. En 1937, elle fit la connaissance de Paul Savary, qui devint son époux. De leur union naquirent six enfants, dont deux sont décédés en bas âge. Suivirent treize petits-enfants, dix-neuf arrière-petits-enfants et quatre arrière-arrière-petits-enfants. Comme la plupart des gens du village, Philomène a travaillé aux Tourbières de Sâles. Elle a également œuvré dans bien d’autres domaines: responsable du cimetière, concierge des écoles, chargée de l’entretien du central téléphonique, femme de ménage chez Bumotec, huissière préposée à la distribution des bulletins de vote à domicile, remplaçante au bureau de poste. Elle fut également membre de la société de gymnastique et de celle des patoisants de la Gruyère. Elle bichonnait son jardin et s’occupait de ses poules et de ses lapins. A Sâles, tout le monde connaissait la villa Ça me suffit de Philomène, qu’elle avait construite avec son mari Paul en 1953. Les fleurs ne manquaient jamais et, si vous cherchiez Fifi, comme tout le monde la surnommait, elle était dans son jardin. Sa porte restait toujours ouverte. Fin cordon-bleu, elle mettait toujours les petits plats dans les grands et la bénichon était une grande occasion pour rassembler sa famille. Il y a moins de dix ans, des soucis de santé ont contraint Philomène à rejoindre le Foyer Saint-Joseph, à Sâles. Elle y a coulé une retraite paisible et bien méritée, ponctuée notamment par les parties de cartes avec les autres résidents.
Philomène Savary laisse un grand vide dans sa famille, mais aussi auprès du personnel du foyer, qui l’a soignée et entourée. A eux et à tous ceux qui pleurent son décès, nous disons notre sympathie émue. GRU

Gérard Pochon

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Bulle

Gérard Pochon est décédé subitement le dimanche matin 27 août. Il venait de passer le cap des 79 ans et se réjouissait de réunir toute sa famille pour ses 80 ans. Selon sa volonté, un hommage lui a été rendu dans l’intimité de sa proche famille.
Né le 28 juillet 1938 dans le foyer d’Emile et Olga Pochon à Bulle, Gérard a connu une enfance heureuse en compagnie de son frère Jean-Pierre. Il effectua un apprentissage dans le milieu bancaire, où il exerça l’entier de son activité professionnelle. Il fut fondé de pouvoir auprès de l’UBS à Bulle. C’est dans le cadre de son activité professionnelle qu’il fit la connaissance de celle qui deviendra son épouse en 1960, Janine, avec laquelle il aura eu le bonheur d’avoir deux fils, Patrick et Claude, qui furent toujours sa fierté. La famille s’agrandit et fut illuminée par l’arrivée de cinq petites-filles qui chérirent leur grand-papa autant que celui-ci les aima. En 2009, il eut cependant le malheur de perdre son épouse. C’est en sa compagnie ou de celle de ses contemporains qu’il avait plaisir à découvrir le monde au travers de multiples voyages, dont quelques-uns l’ont conduit jusqu’aux antipodes. Depuis tout jeune, Gérard a nourri, notamment avec son frère, une vraie passion pour la musique, le jazz en particulier, qu’il contribua à porter en Gruyère, au sein de différents orchestres. Il s’adonnait avec bonheur au saxophone et à la clarinette. A l’heure de la retraite, il se découvrit une nouvelle passion pour le minigolf, qu’il partagea notamment avec son fils Claude et ses petites-filles et qui l’amena à participer avec succès à de nombreux tournois ainsi qu’à présider le club bullois. Gérard s’attachait encore, depuis quelques années, à soutenir le PassePartout de la Gruyère en tenant sa comptabilité. Il appréciait tout particulièrement les multiples moments de convivialité que lui réservaient sa famille, ses amis et ses collègues du minigolf. Il laissera le souvenir d’une personne avenante et optimiste, qu’il faisait bon fréquenter. Que tous ceux qui le pleurent trouvent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU

Louis Savoy

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Attalens

Jeudi 24 août, la famille et les amis de Louis Savoy de la Grande-Fin se sont réunis en l’église d’Attalens pour lui rendre un dernier hommage. Il s’en est allé le lundi 21 août, à l’âge de 89 ans, rejoindre sa chère épouse Maguy qui lui manquait tant, partie au mois de mai. Louis a vu le jour le 27 mai 1928 dans le foyer d’Albert et de Bertha Savoy. Tout jeune, il adorait la lutte, comme son frère Francis. Lors des matches auxquels ils ont participé, ils ont gagné plusieurs couronnes et palmes. Louis a en outre obtenu un CFC de menuisier et a toujours aidé aux travaux de la ferme, comme ses deux frères et sa sœur. Il a épousé Maguy en 1954 et de cette union sont nées deux filles. La famille s’est agrandie avec l’arrivée de deux petits-enfants, qu’il chérissait. Sa passion était de travailler le bois. Il avait beaucoup de plaisir à confectionner de nombreux objets pour ses petits-enfants et pour tous les siens, notamment 24 cors des Alpes. Toute la famille entamait souvent des parties de cartes passionnantes. Le couple se réunissait aussi régulièrement pour jouer avec des amis, et les parties étaient suivies d’un petit repas. Les anniversaires de chacun étaient dignement fêtés. Lorsque ses jambes le lui permettaient encore, il partait volontiers avec Maguy pour des excursions en montagne ou de petits voyages avec des amis. Il ne manquait jamais de suivre les nouvelles du jour et aimait regarder les matches de foot et de hockey. Sa santé s’étant peu à peu détériorée, Louis résida plusieurs années au Home Le Châtelet, à Attalens. Il y fut rejoint ensuite par Maguy. Tous les deux attendaient avec impatience les visites de leurs deux filles. Sa gentillesse et tous les moments heureux resteront à jamais gravés dans les cœurs de sa famille. Qu’elle trouve ici l’expression de notre sympathie émue. GRU

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