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Channel: Nécrologie
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André Firmann

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Bulle

André Firmann s’est éteint le 16 mai 2016 à l’âge de 73 ans. Il est né le 22 novembre 1942 à Bulle, dans la famille de Franz et Anne-Marie Firmann, née Gaudard. Choyé par ses parents en raison du décès en bas âge de son grand frère, Jean-Pierre, il eut encore deux petites sœurs, Geneviève et Marie-Thérèse. André resta à Bulle durant toute son enfance et son adolescence, chantant notamment à la Maîtrise de Bulle et participant activement au mouvement des Louveteaux. Son baccalauréat en poche au Collège Saint-Michel à Fribourg, il déménagea sur les bords de la Limmat en 1962 pour commencer l’EPFZ. Durant cette période, il rencontra Denise Chassot, qui allait devenir sa femme en 1968. Ayant obtenu son diplôme d’ingénieur en mécanique en 1969, il partit deux ans avec sa jeune épouse en Amérique du Nord afin d’acquérir une expérience professionnelle en dehors de l’entreprise familiale. En 1972, de retour en Suisse, André reprit progressivement la direction des Ateliers Firmann SA, à Bulle. Installé au Pâquier, le couple a eu deux fils, Julien en 1973 et Mathieu en 1976. Très actif dans diverses sociétés de la région, il fut notamment durant de nombreuses années président du Club de tennis de table de Bulle dont il est président d’honneur. Profitant d’une retraite active, il aimait passer du temps avec sa famille et ses petits-enfants. C’est en janvier 2015 que les premiers symptômes du cancer qui allait l’emporter se déclarèrent. C’est avec courage et rage qu’il combattit cette maladie injuste jusqu'au bout. A sa famille, à ses proches, à ses amis, à tous ceux que le décès d’André Firmann laisse dans la peine, La Gruyère adresse ses plus sincères condoléances. GRU


Cécile Dafflon

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née Gremion, Pringy

Cécile Dafflon s’est éteinte mercredi, entourée de l’amour des siens. Elle était dans sa 100e année. Un dernier hommage lui est rendu ce samedi en l’église de Gruyères.
Cécile naquit le 16 janvier 1917 à Epagny, dans le foyer de Séraphine et Dominique Gremion-Gachet. Elle était la dernière de neuf enfants. Elle passa son enfance à la ferme du Pont et effectua sa scolarité à Gruyères.
A 20 ans, elle s’unit à Isidore Dafflon, dit «Nino», en la chapelle du Pont-du-Roc, le 20 août 1937 (à 6 h 30). Ensemble, ils firent construire une maison à Pringy. Isidore était le buraliste postal du village et Cécile le seconda minutieusement dans la tâche. Inséparable, le couple était membre de L’Echo du Moléson et de La Catillon.
Tous deux aimaient la montagne: chaque jour de congé était dédié à la grimpe ou à la visite des diverses chapelles de montagne. Cécile était une grande sportive. Sitôt qu’elle en avait le loisir, elle filait randonner dans la région des Gastlosen. On l’avait même surnommée la «fée des Gastlosen».
Cécile et Isidore élevèrent deux enfants de cœur: Marie-Blanche et Patrick. En août 1978, Isidore décéda. Son départ laissa Cécile dans un profond chagrin. Affectueusement appelée «mamie», Cécile ne se laissa pas abattre pour autant et continua à aller de l’avant. Elle s’occupa beaucoup de ses cinq petits-enfants et de ses huit arrière-petits-enfants. A 80 ans, elle jouait encore à cache-cache avec eux.
Sa porte était toujours ouverte et elle avait le souci de bien recevoir ses proches. Mamie était une personne attachante, que beaucoup considéraient comme une douce grand-maman. Elle ne se plaignait jamais. Très croyante et pratiquante, elle se rendait tous les mardis au chapelet avec ses amis, à la chapelle Sainte-Agathe à Pringy. Elle adorait également tricoter à l’ombre des arbres de son jardin.
Ces dernières années, elle fut secondée et entourée par sa famille et ses amis. Elle partit plusieurs fois en convalescence à la Maison Sainte-Marthe au Bouveret, qui lui permettait de se ressourcer spirituellement et de se requinquer physiquement. Depuis un an, elle séjournait au foyer La Rose des Vents à Broc.
Que tous ceux que son décès laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Basilisse Piller

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née Jordan, Villaz-St-Pierre

Basilisse Piller s’est éteinte mercredi 18 mai au Foyer de Bouleyres, à Bulle. Elle était dans sa 93e année. Un dernier hommage lui est rendu ce samedi, en l’église de Villaz-St-Pierre.
Basilisse Piller naquit à Lussy, le 28 octobre 1923. Elle était la cadette de Nathalie et Alfred Jordan, arrivée après ses frères Gaston et Robert. Elle vécut dans la ferme de ses parents jusqu’à son mariage avec Fernand Piller, qu’elle épousa en 1948. Ensemble, ils eurent la joie d’accueillir quatre enfants – Guy, Joseph, Fernande et Yves – qui leur donnèrent à leur tour neuf petits-enfants et sept arrière-petits-enfants. Basilisse appréciait beaucoup leurs visites.
Elle participait aussi avec plaisir aux réunions du groupement des dames et de la Vie montante. Parmi ses passions comptaient la cuisine, la pâtisserie, le tricot, le crochet, le jardin, les fleurs et le jass. Elle y joua jusqu’à la fin de sa vie, dans sa famille et au Foyer de Bouleyres, qu’elle avait rejoint depuis plus de trois ans. Elle y fut accueillie par un personnel dévoué et compétent et y découvrit même les plaisirs du chant.
A sa famille, à ses amis et à tous ceux que le décès de Basilisse Piller laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Georges Magnin

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dit Kiki, Bulle

Georges Magnin, dit Kiki, s’est éteint le 13 mai à son domicile. Il venait de fêter ses 70 ans. Un dernier hommage lui a été rendu mardi, en l’église St-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Georges Magnin est né le 6 mai 1946, à Villarsel-le-Gibloux, dans le foyer de Louis et Marthe Magnin. Il avait quatre sœurs et un frère. Après sa scolarité suivie dans son village natal, il entreprit un apprentissage de mécanicien de précision chez Gendre, à Fribourg. Il fut ensuite engagé chez Schuwey, à Corpataux, en 1974, avant de rejoindre l’entreprise Liebherr, à Bulle, en 1982. Chef d’une chaîne de montage de moteur en V, il y était très apprécié et y travailla jusqu’à l’âge de la retraite, en 2011.
Deux enfants naquirent d’un premier mariage, Corine et Sébastien. Au fil des ans, il devint ensuite deux fois grand-papa, puis arrière-grand-papa. En 1979, Kiki Magnin unit sa destinée à Monique Savary, de Delley. Le couple s’installa à Bulle et eut le bonheur de voir naître un fils, Fabrice.
Durant son temps libre, Kiki partait volontiers à la cueillette de champignons sur les hauts de Cerniat. Il avait un bateau amarré à Gumefens et aimait naviguer sur le lac de la Gruyère. Il s’adonnait volontiers à la pêche. Pendant une quinzaine d’années, il se promena chaque jour avec son chien Kasper et allait régulièrement chercher le chien de son fils Fabrice pour les accompagner.
Il y a dix ans, des problèmes de santé se sont déclarés. Ce qui ne l’a pas empêché de travailler, ni de profiter de la vie jusqu’à ce dernier mois. Optimiste, il disait toujours: «Ça ira.» Son vœu de rester à la maison jusqu’à son dernier souffle a pu être exhaussé et, c’est entouré de son épouse et de ses enfants, qu’il s’en est allé vendredi 13 mai.
Que son épouse, sa famille et tous ceux qui sont dans la peine trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Juliette Uldry

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née Gremaud, Le Châtelard

Juliette Uldry s’est éteinte mardi. Elle était dans sa 83e année. Un dernier hommage lui a été rendu vendredi en l’église du Châtelard.
Juliette naquit le 13 novembre 1933 à la laiterie du Châtelard, dans le foyer de Léon et Thérèse Gremaud. Elle était l’aînée d’une fratrie de trois enfants et eut deux frères, Marius et Léon. Elle suivit sa scolarité dans son village natal et à l’Institut Saint-François, à Châtel-Saint-Denis, où elle fut bonne élève. Durant sa jeunesse, elle se rendait régulièrement à vélo à la ferme des Esseiva, à La Sionge, pour participer aux travaux de la campagne.
En 1960, Juliette unit sa destinée à Joseph Uldry et rejoignit la ferme du Planet. Le couple eut la joie d’accueillir cinq enfants. Mais les premières difficultés s’annoncèrent dans la famille avec la naissance d’un fils handicapé et la perte du dernier-né dans un tragique accident.
Juliette Uldry était une très bonne cuisinière et elle se réjouissait d’accueillir sa famille pour de bons repas. Elle avait à cœur de préparer le menu de bénichon pour ses proches. Grand-maman attentive, elle choyait ses huit petits-enfants lorsque sa santé le lui permettait, car elle eut de problèmes.
Fin 2008, Juliette Uldry dut rejoindre le Foyer Ste-Marguerite, à Vuisternens-devant-Romont où elle fut accueillie par un personnel dévoué et compétent.
A sa famille, à ses proches et à tous ceux que son décès laisse dans la peine, La Gruyère dit sa sympathie.  GRU

Joseph Jaquet

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Epagny

 

Joseph Jaquet s’est éteint le 25 mai dans sa 90e année. Il est né à Estavannens le 19 mars 1927 dans une famille de quatre enfants, tous occupés à l’agriculture et aux travaux forestiers. Joseph fait partie de la dernière génération qui a encore fané les Chaux d’Estavannens.
Comme le domaine reprit par son frère aîné ne permettait pas de nourrir deux familles, il choisit d’entreprendre un apprentissage de maréchal-forgeron à Porsel. Il pratiqua son métier à Lausanne, à Matran, où il connut sa future épouse, puis à la forge d’Epagny.
Il poursuivit sa carrière comme serrurier d’entretien dans l’industrie du bois auprès de Despond, à Bulle. Enfin, il termina sa vie professionnelle chez Jacky Brandt, aussi à Bulle.
En 1959, Joseph épousa Marthe et de cette union naquirent trois enfants, puis quatre petits-enfants qu’il chérissait.
Joseph aimait le jardin, accompagner son épouse, rendre visite aux malades, aux personnes âgées sans oublier les interminables parties de cartes autour d’un bon verre. Il appréciait les voyages. Il fut particulièrement touché par la visite d’Israël et de la Palestine.
La société de tir, sa deuxième famille comme il le disait, lui procura de nombreux moments d’amitié. Il fut président de celle d’Estavannens et durant vingt-huit ans, membre du comité de Gruyères.
Sa troisième famille, la communauté Foi et Lumière de Bulle et environs lui offrit le soutien et le réconfort pour vivre et comprendre le handicap. A la suite du décès de son fils Claudy en 2005, il aimait fraterniser et privilégier les belles rencontres. Il eut la joie et le bonheur de participer à deux grands pèlerinages à Lourdes en 1991 et 2001.
Conseiller de paroisse, puis quinze ans sacristain, il appréciait particulièrement être en famille avec ses enfants et ses petits-enfants. Sa gentillesse, sa bonté, sa discrétion laisseront un grand vide. A sa famille et à tous ceux que sa disparition laisse dans la peine, nous disons note sympathie émue. GRU

Robert Pittet

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La Joux

Entouré de sa famille, Robert Pittet s’en est allé paisiblement le 25 mai, dans sa 92e année. Un dernier hommage lui a été rendu samedi en l’église de La Joux. Né à La Joux le 15 septembre 1924 dans la famille de Léon et Stéphanie Pittet, née Menoud, Robert était le cadet d’une fratrie de cinq enfants. En avril 1950, il épousa Anne-Marie L’Homme, de Mézières, avec qui il eut douze enfants. La famille s’agrandit encore avec l’arrivée de nombreux petits-enfants et arrière-petits-enfants dont il était fier. Agriculteur et scieur, Robert a travaillé toute sa vie durant sur l’exploitation et à la scierie familiales de La Joux, qu’il a ensuite remises à son fils Jean-Louis. Robert a aussi participé à la vie associative de son village. A l’automne de sa vie, tout en secondant son fils, il a pu jouir avec son épouse d’agréables moments de loisirs, petites vacances, sorties, lotos et parties de cartes. Il appréciait aussi particulièrement les visites de ses proches et les fêtes de famille. A la suite de quelques hospitalisations, Robert dut se résigner à entrer au Home de Billens en mars 2015, où il fut bien accueilli et choyé par le personnel soignant. Pour son plus grand bonheur, son épouse l’y a rejoint en décembre dernier, leur permettant ainsi de vivre ensemble les derniers mois de son existence. A son épouse, à sa famille et à tous ceux que le décès de Robert Pittet laisse dans la peine, nous présentons nos sincères condoléances. GRU

Marie-Anne Castella

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née Passaplan, Hauteville

Marie-Anne Castella s’est endormie paisiblement à l’hôpital de Riaz entourée par sa famille, jeudi, au soir de la Fête-Dieu, cette belle fête où les fleurs des champs qu’elle aimait tant sont à l’honneur. Après y avoir été admise il y a un mois pour une fracture du bassin consécutive à une chute, son état de santé a progressivement décliné. Elle avait 82 ans. Marie-Anne naquit le 17 octobre 1933, à Hauteville, dans la famille de Ferréol et Amélie Passaplan. Elle était la cinquième de sept enfants. Après avoir grandi dans la ferme familiale, elle a travaillé comme fille au pair à Lucerne et comme vendeuse dans une boulangerie à La Tour-de-Trême. En 1955, elle unit sa destinée à celle d’André Castella. De cette union naquirent trois fils, quatre petits-fils et deux arrière-petits-enfants. Le décès de son premier petit-fils Joseph, peu après sa naissance en 1981, fut une grande épreuve pour elle et sa famille. Après son mariage, Marie-Anne s’installa quelques mois à Genève, puis à Bulle, avant de déménager  en 1960 à Biberist (SO). En 1968, ce fut le retour dans son village natal, où elle accompagna son mari dans le grand défi de leur vie, la fondation d’une maison d’éditions religieuses et le lancement de deux revues mariales, en français et en allemand, diffusées à travers le monde entier. Avec son sens du contact et des conseils aux clients, elle a contribué au développement de l’entreprise et y a collaboré bien au-delà de sa retraite. Les Editions du Parvis sont tenues aujourd’hui par ses deux fils aînés et occupent une quinzaine d’employés. Parmi ses passions, citons la prière, la lecture, le jass et les fleurs. De santé fragile, elle a dû souvent affronter la maladie avec courage. Il y a six ans, Marie-Anne a eu la douleur de perdre son mari André. Elle eut toutefois la chance de pouvoir rester ensuite à la maison jusqu’à son hospitalisation, grâce à tout le soutien que lui a offert son deuxième fils, Jean-Marie, qui vivait avec elle. Ceux qui l’ont connue garderont d’elle l’image d’une femme vive et généreuse, sachant apporter le réconfort autour d’elle, grâce à une oreille attentive.
Que tous ceux que son décès laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU
 


Bernard Oberson

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La Sionge

Au soir du 23 mai, Bernard Oberson s’en est allé des suites de complications postopératoires, après une très courte maladie. Il avait 64 ans. Bernard naquit le 15 mars 1952 à La Laiterie de La Sionge, où ses parents Ferdinand et Agnès exploitaient la fromagerie. Il avait deux sœurs et un frère. Il eut hélas la grande douleur de perdre ses parents et sa sœur Jacqueline. Au hameau de La Sionge, il apprit le métier de fromager avec son papa, et reprit la fromagerie en 1984. Il y resta plus de vingt ans. Sa dernière étape professionnelle fut l’exploitation du Palais du fromage, à Fribourg. Ses clients étaient ses amis. Pour Bernard, le travail était un plaisir, une passion. Et la retraite, il ne la voyait pas demain déjà. De son union avec Marie-Françoise naquirent Cédric et Aline, enfants dont il était très fier et pour qui il était toujours là, dans une présence silencieuse. L’arrivée de ses trois petits-enfants, Noam, Liam et Jade, fut un ciel bleu. Les garder une soirée était source de réjouissance pour les petits, tant leur grand-papa les amusait de tout, de rien, en toute simplicité, avec beaucoup d’amour. Bernard connut aussi des aléas, comme tout un chacun. Et sa rencontre avec Roselyne a été un cadeau pour lui durant ses dernières années. Ses enfants se souviendront de leur papa comme d’un homme bon, simple, peu démonstratif et pas très volubile. Ils savaient qu’il était là, sans bruit, sans chichis. Il est parti sur la pointe des pieds pour ne pas déranger, ne pas attrister, entouré de toutes les personnes qui l’aimaient, jusqu’à son dernier souffle. Que tous ceux que son décès laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU
 

Louis Genoud

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dit d'Ayoux, Châtel-St-Denis

Louis Genoud, dit d’Ayoux, est décé­dé à son domicile, le samedi 28 mai. La cérémonie d’adieux a eu lieu en l’église de Châtel-Saint-Denis, le mardi 31 mai. Aîné d’une famille de quatre frères, Louis naquit le 16 avril 1939. Il découvrit rapidement les dures conditions de la vie. Le lendemain de ses 16 ans, sa maman décéda puis, quelques mois plus tard, son papa devint handicapé à la suite d’un accident. Son école secondaire terminée, il devint bûcheron, puis passa son permis poids lourd et sillonna le pays
durant quelques années. En 1964, il cons­truisit son chalet, se maria avec Jeannette et réalisa enfin son rêve, en se mettant à son compte comme débardeur de bois. Un métier alliant sa passion de la nature et surtout de l’indépendance, qu’il pratiqua bien au-delà de l’âge de la retraite. Avec son Unimog, aucune forêt du canton n’avait de secret pour lui. Que de journées passées dans les conditions les plus dures, de nuits à déneiger ou à dépanner, toujours prêt à rendre service. Le décès tragique de ses trois frè­res ainsi que de son meilleur ami l’affecta profondément. Sans jamais en parler, c’est en montagne qu’il allait se ressourcer. Son seul moment de répit était les parties de cartes du diman­che matin, avec ses amis à Prayoud. A la veille de son décès, sentant ses forces l’abandonner et sans jamais se plaindre, il put encore une dernière fois, avec son chien, dire adieu à cette forêt qu’il aimait tant. Que tous ceux que son décès laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU
 

Elisabeth Overney

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née Remy, Charmey

Vendredi soir, à l’hôpital de Riaz, s’est éteinte dans la sérénité, entourée des siens, Elisabeth Overney-Remy. Elle avait 70 ans. Un dernier hommage lui sera rendu mercredi, en l’église de Charmey. Aînée des deux enfants de Louis et Elisa Remy, Elisabeth vit le jour le 17 décembre 1945, à Charmey, dans la maison paternelle du village d’Enhaut. Dès l’enfance, elle aida ses parents agriculteurs sur ce coin de terre si cher à son cœur, le domaine du Riau de la Maula. Le décès de sa sœur Monique, de 10 ans sa cadette, fut pour elle une épreuve douloureuse. A la sortie de sa scolarité obligatoire, Elisabeth, ou plutôt Millette comme ses parents l’avait surnommée, s’engagea pour onze hivers à la chocolaterie Nestlé, à Broc, tout en aidant ses parents aux travaux de la ferme. En 1978, elle unit sa destinée à Hercule Overney. Un an plus tard naissait Christophe. Millette seconda alors son époux agriculteur. Elle s’occupa aussi de ses parents avec dévouement, à l’image de son grand cœur. Elle travailla aussi des années à la colonie des Dents-Vertes, puis au Centre reformé et à la maison de convalescence Bellevue, à Charmey. Ses loisirs étaient la lecture, le tricot, les jeux de cartes ainsi que son jardin. Excellente cuisinière, elle aimait gâter sa famille, ses amis et ses chers armaillis qu’elle appréciait particulièrement. Sa porte était toujours ouverte et on ne partait pas de la ferme de la Dada sans y prendre un verre et sans un présent. Discrète, mais au contact facile et d’une écoute attentive, Elisabeth aimait converser avec chacun. Alors qu’à peine cinq années la séparaient d’un repos bien mérité, la maladie vint bouleverser son existence. Elle la supporta durant plus de dix ans, sans jamais se plaindre. L’arrivée de sa petite-fille Emma fut un grand soleil à l’automne de sa vie. L’an dernier, malgré le dévouement de son époux, de son fils et de l’épou­se de celui-ci, Véronique, sa fille de cœur, elle dut quitter sa maison pour séjourner dans divers établissements et fut hospitalisée de longs mois à Fribourg. En septembre 2015, au Home de la Rose des Vents à Broc, elle trouva un accueil chaleureux. Le 28 mai, elle fut hospitalisée à Riaz. Elle a finalement été retrouver ses chers parents dans le repos éternel. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Elisabeth Overney-Remy laisse dans la peine, La Gruyè­­re dit toute sa sympathie. GRU

Odette Niquille

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née Bugnard, Charmey

Hospitalisée le 11 juin, à Riaz, Odette Niquille s’est endormie entourée et accompagnée de l’affection des siens. Odette est née le 13 octobre 1931, à Charmey. Fille de Maurice et Maria Bugnard, elle a grandi auprès de sa sœur Yvonne. Elle a suivi sa scolarité à Charmey et, pendant sa jeunesse, elle faisait les trajets parfois à pied pour se rendre à la chocolaterie Nestlé à Broc où elle travaillait. En février 1954, elle unit sa desti­née à André Niquille, de Charmey. De cette union naquirent quatre enfants, Christian, Patricia, Renée-Laure et Catherine. En 1971, après avoir habité plusieurs années à La Tzintre, la fa­mille déménagea au village. Odette était très active, gérant son travail de maman ainsi que des emplois à la pharmacie et à la piscine de Charmey. Elle entretenait également avec soin son jardin et fleurissait chaque recoin de sa maison. Pendant de nombreuses années elle s’occupa successivement de son mari, de sa maman et de sa sœur, tous trois affaiblis par des problèmes de santé. Elle eut le bonheur de vivre dans sa maison du Pra, entourée de ses enfants et de ses petits-enfants qui lui rendaient visite chaque jour à tour de rôle. Elle se laissait volontiers emmener en balade et même en voyage jusqu’à Bali. Elle se réjouissait aussi des parties de cartes avec ses amies. La lecture occupait ses après-midi lorsque, assise sur son banc, elle prenait le temps de se reposer. Fidèle à elle-même malgré les difficultés de la vie, elle resta persévérante, courageuse, conciliante, généreuse. Ces dernières années, elle fut secondée et entourée par sa famille et le personnel du réseau de santé et de soins de la Gruyère. Malgré tout, elle dut quitter sa maison et, en janvier, elle entra au Home de la vallée de la Jogne. A tous ceux qui pleurent son départ, nous disons notre sympathie émue. GRU

Marthe Angéloz

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née Grandjean, Marly

Cet après-midi, en l’église de Marly, la famille et les amis de Marthe Angéloz se réunissent pour lui rendre un ultime hommage. Elle s’est endormie vendredi, à l’âge de 96 ans. Marthe est née le 19 avril 1920. Troisième d’une fratrie de six enfants, elle a grandi à Gumefens, dans le foyer de Mélanie et Jules Grandjean. A l’âge de 14 ans, elle quitta l’école pour s’occuper du ménage et d’enfants dans différentes familles. Son désir était de devenir couturière, mais, à l’époque, il n’était pas question d’étudier. Elle travailla en tant que sommelière dans divers restaurants. En 1947, Marthe unit sa destinée à Victor Angéloz, menuisier à Corminbœuf. Sa vie ne fut pas épargnée. En 1948, alors qu’elle était enceinte de son fils, elle perdit son jeune frère. Deux ans plus tard, enceinte de sa fille, elle eut le terrible chagrin de perdre son mari, décédé d’une méningite tuberculeuse. C’est alors qu’elle quitta Corminbœuf pour s’installer dans la maison de son frère, à Marly. Marthe Angéloz travailla plusieurs années dans une usine de lampes, à Fribourg, puis effectua des nettoyages à l’école primaire de Marly. Elle était une battante et puisait toute son énergie dans la foi. Ne baissant jamais les bras, travailleuse, généreuse et soucieuse du bien-être de sa famille, elle allait de l’avant sans se plaindre, même dans les moments difficiles. En 1978, Marthe connut la grande joie de devenir grand-maman d’une première petite-fille, Nathalie, qui fut suivie de Laetitia, quatre ans plus tard. Elle aimait beaucoup les garder et appréciait leur compagnie pour jouer, faire des promenades et de la luge. Leur confectionner des petits plats était un vrai plaisir, en particulier sa fameuse purée de pommes de terre et sa sauce tomate. Elle s’adonnait également au tricot et à la couture. Plus tard, Marthe accompagna son frère devenu veuf. En 2008, après une chute, elle se cassa le col du fémur. C’est à ce moment-là que sa santé commença à se dégrader. Elle passa plusieurs mois chez les sœurs d’Ingenbohl, à Fribourg, puis entra à la résidence des Epinettes, à Marly, en 2010. Malgré la qualité des soins et la présence affectueuse du personnel, il lui fut très difficile d’accepter de quitter la maison. Tous les jours, elle recevait la visite de son fils. En 2014, Marthe perdit sa fille, enlevée par la maladie. Ce décès l’a énormément affectée et elle ne s’en est jamais remise. Marthe Angéloz laisse derrière elle un héritage de bonté, de foi et d’amour. Que tous ceux qui sont touchés par son départ trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Maria Grangier

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née Beaud, Bulle

Maria Grangier s’en est allée vendre­di, alors qu’elle cheminait dans sa 94e année. Un dernier hommage lui sera rendu lundi en l’église de Bulle.
Maria a vu le jour le 17 janvier 1923, dans le foyer de Cécile et Oscar Beaud, à Albeuve. Elle était la cadette de cette nombreuse famille.
Après sa scolarité, Maria travailla à la filature de Neirivue, tout en s’occupant de sa maman pendant de nombreuses années. Les fins de semaine, elle officiait comme sommelière à l’Hôtel de Jaman, à Montbovon. C’est là qu’elle fit connaissance de son futur époux. René Grangier et Maria unirent leur destinée le 8 novembre 1957, à Saint-Maurice. Le couple s’installa à Bulle.
De cette union sont nés deux fils, Philippe et Pierre-André. Plus tard, Maria eut l’immense joie de voir six petits-enfants agrandir le cercle familial et la chance de connaître une arrière-petite-fille, Lydie, née le 17 avril dernier.
En juillet 2002, Maria Grangier eut la douleur de perdre son tendre époux. Elle consacra une partie de sa retraite à s’occuper de Lucie, sa petite-fille handicapée, à qui elle portait beaucoup d’attention. Tant qu’elle le put, elle avait à cœur d’inviter sa famille aux repas de fête.
A la suite d’un accident vasculaire cérébral, Maria rejoignit au printemps 2012 la grande famille de la Maison bourgeoisiale, à Bulle, où elle fut très bien entourée. Elle laisse à ses enfants le souvenir d’une maman courageuse, volontaire et aimante.
Que tous ceux qui sont touchés par le départ de Maria Grangier trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Jean Dénervaud

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Vuisternens-devant-Romont

Le 8 juin, Jean Dénervaud s’est endormi paisiblement à son domicile, à Vuisternens-devant-Romont. Il avait 88 ans. Un ultime hommage lui a été rendu samedi dernier en l’église du village.
Jean Dénervaud est né le 4 août 1928 à Grangettes. Avec sa sœur et ses deux frères, il passa toute sa jeunesse dans le village glânois. A l’âge de 26 ans, il rejoignit l’exploitation agricole de la famille d’André Deillon, à Vuisternens-devant-Romont. Il y travailla toute sa vie.
L’été, il gardait le bétail au chalet des Pontets, sur les hauts d’Enney. Sa porte était toujours ouverte et c’est là que ses amis aimaient lui rendre visite. Fin connaisseur du bétail, Jean Dénervaud ne comptait pas ses heures de travail. Et il aimait le travail bien fait. Portant fièrement le bredzon, ses proches garderont de lui l’image d’un homme au grand cœur.
A tous ceux qui pleurent le départ de Jean Dénervaud, nous disons notre sympathie émue. GRU


Romeo Carpino

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Vaulruz

La main dans celle de sa sœur et de sa cousine, Romeo Carpino s’est éteint le 18 juin, à l’Hôpital cantonal de Fribourg, après une longue maladie. Il avait 47 ans. Un dernier hommage lui sera rendu demain en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle.
Romeo a vu le jour le 1er janvier 1969, dans la famille de Mario et Yvonne Carpino, née Remy. Entouré de son grand frère Renato et de sa petite sœur Marinella, il grandit quelques années à Charmey, d’où il était originaire. Il suivit sa scolarité à Romont, où la famille s’était installée, avant de s’établir à Vaulruz. Il œuvra quelques années en tant que poseur de sols et, comme tous les jeunes hommes de 20 ans, il accomplit son service militaire. Puis, hélas, la maladie se déclara, le contraignant à cesser ses activités.
Romeo trouva dans la musique et la cueillette des champignons des échappatoires bienfaisants. Dans les voyages aussi. Il se rendait souvent près de Naples, pour visiter sa grande famille d’Italie, qui avait beaucoup de plaisir à l’accueillir. Et chacun recevait toujours une bonne dose de chocolat! Il entreprit aussi plusieurs voyages en compagnie de sa maman, avec qui il était très fusionnel. Il est allé à Lourdes l’an passé.
Romeo était très proche de ses parents, de son frère et de sa sœur, de ses neveux et nièce, comme de ses cousins, cousines, oncles et tantes. Son décès les laisse dans une grande peine. Ils garderont de lui le souvenir d’un être souriant, attachant, serviable et spontané, malgré la maladie, les répits et les rechutes.
Que sa famille et tous ses proches reçoivent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU

Alfred Saudan

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Châtel-Saint-Denis

Alfred Saudan est décédé, vendredi, à l’HFR de Riaz. Il avait 76 ans. Un dernier hommage lui sera rendu aujourd’hui mardi en l’église de Châtel-Saint-Denis.
Alfred Saudan est né le 5 décembre 1939 dans le foyer de Léon et de Jeanne Saudan-Balmat. Avec Agnès, sa grande sœur, et Gabriel, le petit dernier, il formait la famille d’En Trimont, à Châtel-Saint-Denis.
Très habile dans son métier d’agriculteur, il passa tous sa vie à la ferme. Ses étés, il les partageait entre le chalet des Mayens et celui de la Gravalas. La montagne, ses bêtes et la musique folklorique furent ses havres de paix. De nature discrète et réservée, celui qu’on appelait Frédy du Trimont avait un immense cœur. Plus jeune, il foula les ronds de sciure, d’où il ramena plusieurs couronnes pour le compte du Club des lutteurs de Châtel-Saint-Denis.
Ces derniers mois, la santé d’Alfred Saudan avait commencé à se dégrader et il souffrait de ne plus pouvoir rejoindre son neveu Laurent à la Gra­valas.
A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Alfred Saudan laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Muriel Kolly

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née Mabboux, Broc

Muriel Kolly-Mabboux est décédée jeudi, à la Villa St-François, à Fribourg, après avoir supporté une pénible maladie durant plusieurs mois. Elle avait 52 ans. Un dernier hommage lui sera rendu lundi en l’église de Broc.
Muriel naquit le 8 juillet 1963 dans le foyer de Noël et Marguerite Mabboux-Godard, à Broc. Elle y grandit avec son frère Emmanuel et y fit ses classes avant de rejoindre le cycle d’orientation à Bulle. Elle suivit une formation d’aide-soignante à l’hôpital de Riaz. Elle travailla ensuite dans plusieurs établissements médico-sociaux, comme Clos-Fleuri ou la Maison bourgeoisiale.
Elle quitta son village natal durant huit ans pour suivre son époux, Jean-Daniel, engagé aux caves de L’Etivaz. Ils s’étaient mariés en 1983. En 1992, le couple accueillit avec bonheur la naissance d’Audrey.
Muriel vouait une grande passion aux lotos. Elle aimait beaucoup se promener avec son chien entre Broc-Fabrique et le village ainsi que visiter les buvettes d’alpage. Son expérience professionnelle dans les soins lui valait un esprit d’ouverture et le contact facile.
Le retour à Broc coïncida pour Muriel au début de ses ennuis de santé, qui la forcèrent bientôt à cesser toute activité professionnelle. Sa santé défaillante ne lui offrit plus que quelques répits. En 2014, Muriel subit une rupture d’anévrisme, dont elle se remit bien. Elle ne souffrit pratiquement d’aucune séquelle. En janvier 2016, elle eut la grande joie de fêter le mariage de sa fille et la naissance de sa petite-fille Morgane.
Le malheur reprit pourtant bien vite le dessus. En avril, un cancer généralisé lui fut diagnostiqué. Elle ne quitta plus l’HFR Fribourg que pour rejoindre la Villa St-François, où elle décéda, quelques heures à peine avant que son père ne s’éteigne à son tour.
A son mari, à sa fille, à sa famille et à tous ceux que le décès de Muriel Kolly-Mabboux laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Noël Mabboux

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Broc

Noël Mabboux est décédé jeudi, après une courte mais pénible maladie, à l’HFR Fribourg. Il avait 80 ans. Un dernier hommage lui sera rendu lundi en l’église de Broc.
Noël naquit le 26 décembre 1935, à Vaulruz, dans le foyer d’Ernest et Jeanne Mabboux-Overney. Il était le huitième d’une fratrie de dix enfants, cinq filles et cinq garçons. Après avoir suivi sa scolarité obligatoire, il s’engagea comme ouvrier agricole jusqu’à son embauche à la Nestlé, en 1955. Il y termina sa carrière et prit sa retraite en 1997.
Pour se rapprocher de l’usine, il s’était établi, avec toute sa famille, à Broc-Fabrique. Il y vécut durant plus de cinquante ans. Noël Mabboux avait épousé Marguerite Godard en janvier 1963. Une petite fille, Muriel, vint rapidement égayer leurs jours. Emmanuel les rejoint en 1965. Une petite-fille, Audrey, puis Morgane, son unique arrière-petite-fille, agrandirent ensuite la famille.
Passionné de jardinage, amateur de parties de cartes, Noël Mabboux appréciait plus que tout accueillir les siens. Les repas du dimanche étaient une institution sacrée. Il n’aurait pas compris qu’un seul manque à l’appel. Jovial, gentil et de bonne compagnie, Noël Mabboux voyagea aussi en car, à travers l’Europe. En janvier, il apprit qu’il souffrait d’un cancer de l’œsophage. En mai, il dut être hospitalisé à l’HFR Fribourg, où il décéda, quelques heures à peine après que sa fille Muriel se soit éteinte.
A son épouse, à sa famille et à tous ceux que le décès de Noël Mabboux laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

René Bussard

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Pringy

René Bussard est décédé vendredi dernier après une courte mais péni­ble maladie à l’HFR Riaz à l’âge de 65 ans. Un dernier hommage lui a été rendu hier en l’église de Gruyères.
René est né le 28 avril 1951, au Pâquier, dans le foyer de Paul et Agnès Bussard-Andrey. Il était le deuxième d’une fratrie de quatre enfants. En 1952, la famille s’établit à Pringy où René passa ensuite toute sa vie.
Après avoir suivi sa scolarité obligatoire à Gruyères, il passa deux ans et demi au Repuis, à Grandson, où il reçut une formation dans les domaines du bois, du cartonnage et du jardinage. Il travailla ensuite vingt-cinq ans dans l’entreprise F. Dupré Ebéniste, à Gruyères. Puis il exerça au sein de l’équipe de la voirie de la commune de Gruyères pendant plus de vingt-quatre ans, jusqu’au 30 avril dernier, date de sa retraite.
René Bussard était très apprécié de ses supérieurs et collègues de travail pour sa ponctualité, la justesse de son travail et la qualité de ses prestations. Il aimait le travail au jardin, notamment la culture des tomates. René était également passionné par les trains et connaissait tous les types de locomotives et les compositions des TPF. Il avait été très heureux de pouvoir visiter leurs entrepôts il y a quelques mois.
Durant son temps libre, il prenait beaucoup de plaisir dans la lecture des bandes dessinées de Tintin et il aimait beaucoup aller au clocher de l’église de Gruyères écouter le carillonneur. Le son des cloches était aussi une de ses passions.
Les week-ends, René Bussard aimait monter au chalet du Ski-club Chalamala pour effectuer des travaux, retrouver ses amis et aller skier pendant l’hiver. Il appréciait aussi les activités et voyages avec les contemporains 51 de Gruyères-Enney. René avait une mémoire extraordinaire, il se montrait très chaleureux et jovial, toujours prêt à rendre service.
A ses frères et sa sœur, ses neveux et tous ceux que le décès de René Bussard laisse dans la peine, nous adressons notre sincère sympathie. GRU

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