Quantcast
Channel: Nécrologie
Viewing all 1689 articles
Browse latest View live

Isabelle Colliard

$
0
0
née Genoud, Châtel-St-Denis

Après une longue maladie, Isabelle Colliard est décédée dimanche 7 septembre, aux soins palliatifs de la Villa Saint-François, à Villars-sur-Glâne. Elle était dans sa 55e année. Un ultime hommage lui a été rendu mercredi 10 septembre, en l’église de Châtel-Saint-Denis. Isabelle est née Genoud, le 4 décembre 1959 à Châtel-Saint-Denis. Dans le foyer de Cyprien et Jeannette, née Tâche, elle était l’aînée de trois enfants. Après sa scolarité à Châtel-Saint-Denis, à 15 ans, elle partit apprendre l’allemand dans une famille, à Traben-Trarbach en Allemagne. A son retour, elle effectua un apprentissage de vendeuse à la boucherie Favre, à Vevey. Elle aimait beaucoup son métier et a travaillé à la Coop de Châtel-Saint-Denis, à la boucherie Emonet, puis enfin chez Savoy, à Attalens. Isabelle se spécialisa dans la préparation de plats de viande froide. Sa façon de les préparer les rendait uniques. Elle utilisait aussi son sens esthétique pour décorer, au rythme des saisons, les vitrines des magasins où elle travaillait. En 1982, elle se maria avec Roland Colliard et deux enfants sont nés de leur union: Maryline, en 1983, et Michaël, en 1987. La famille s’est d’abord installée dans la maison familiale de Roland, à Prayoud, avant de construire sa propre maison à Fruence. Un foyer qu’Isabelle a su rendre chaleureux et accueillant. En février 2011, elle eut le grand bonheur de fêter l’arrivée de Méline, sa petite-fille chérie.
Isabelle nourrissait une passion particulière pour les éléphants. Elle rêvait d’un voyage en Asie, mais la maladie en a décidé autrement. Le tricot était l’un de ses passe-temps favoris. Elle confectionnait pulls, écharpes et bonnets avec goût et imagination. Mais, en dehors de sa famille et de sa maison, sa plus grande passion a été la musique. A 54 ans, elle totalisait déjà 42 ans de flûte traversière. Elle aimait d’ailleurs rappeler, avec fierté, qu’elle avait joué ses premières notes en compagnie de Monseigneur Genoud, qui pratiquait le même instrument. A son tour, Isabelle donna des cours à l’école de musique de la Fanfare de Châtel-Saint-Denis. Tous les musiciens du Giron de la Veveyse la connaissaient, d’autant que, depuis quelques années, elle jouait également avec la Fanfare du cercle d’Oron. Unies dans la douleur, les deux fanfares lui rendirent hommage lors de la messe du dernier adieu. Depuis août 2010, Isabelle luttait avec force et courage contre la maladie. A son mari, à sa famille et à tous ceux que son départ laisse dans la douleur, La Gruyère dit sa profonde sympathie. GRU


Pierre Musy

$
0
0
Grandvillard

Pierre Musy est décédé mercredi après-midi, au Home de l’Intyamon, à Villars-sous-Mont. Il s’est endormi paisiblement dans sa 80e année. Un dernier hommage lui sera rendu en l’église de Grandvillard, ce samedi.
Né à Grandvillard le 27 mai 1935, Pierre Musy était le deuxième des quatre enfants de François et Eléonore Musy-Jaquet. Il effectua ses classes primaires au village, puis étudia au pensionnat de la Gouglera. Son cursus obligatoire achevé, il œuvra de nombreuses années comme caviste, auprès de la maison Jules Gex.
Mais la vie de Pierre Musy, la vraie, se passait dans la montagne. Alpiniste chevronné, il gravissait régulièrement le Vanil-Noir et les sommets alentour. A maintes reprises, il porta d’ailleurs secours à des randonneurs en détresse. Sa grande spécialité, durant ses jeunes années, consistait à baguer les aiglons, à même l’aire. Encordé à ses acolytes, il descendait le rocher de l’Aille jusqu’au nid. Aussitôt que ses collègues apercevaient le retour de l’aigle, ils s’empressaient de remonter Pierre pour le sauver des serres du royal rapace.
Plus tard, il travailla comme garde-génisses pour son frère Jacques, toujours au-dessus de Grandvillard. Une fois ce dernier émigré en France, Pierre Musy vécut presque en ermite, dans la petite maison familiale. Au printemps et à l’automne, le Grandvillardin se rendait à vélo 3 vitesses jusque sur les hauts de Sorens pour tourner le jardin de sa sœur Simone. Il prêtait également main-forte à son beau-frère Irénée, pour le fanage, et rendait d’occasionnelles visites à ses neveux et nièces, à qui il offrait du Frigor et des raviolis. De peur de déranger, il restait néanmoins sur le pas de la porte. Le reste du temps, il ne voyait que peu de monde. Avide de liberté, Pierre Musy ne monta jamais dans une voiture et ne posséda aucun téléphone de toute sa vie.
L’entrée au Home de l’Intyamon, l’été dernier, fut pour ce grand solitaire un véritable chamboulement. La gentillesse et les attentions du personnel lui faisaient cependant dire qu’il s’y sentait comme à l’hôtel. Le foyer fut le point de départ de sa dernière ascension et c’est mercredi après-midi que Pierre atteint l’ultime sommet.
A sa famille et à tous ceux que le départ de Pierre Musy laisse dans la peine, La Gruyère exprime sa sympathie. GRU

Huguette Landenberger

$
0
0
née Vuichard, Neukirch an der Thur

Huguette Landenberger est décédée le 15 août dernier. Elle avait 76 ans. Un dernier hommage lui a été rendu le 22 août en l’église de Neukirch an der Thur (TG).
Huguette Landenberger naquit le 7 septembre 1938 dans le foyer d’Albert et Antonie Vuichard, à Vuadens. En 1945, la famille s’installa à Bulle, où Huguette suivit toute sa scolarité. Elle continua ses études à l’Institut Sainte-Croix. Elle débuta sa carrière professionnelle en tant qu’employée de bureau chez Nestlé, à Broc, avant d’intégrer la Société électrothermique, à La Tour-de-Trême.
En 1965, Huguette Landenberger quitta la Gruyère pour s’installer en Thurgovie. C’est là qu’elle rencontra son futur époux, Kurt. La famille s’agrandit avec l’arrivée de deux garçons et d’une fille. Puis, avec celle de cinq petits-enfants.
Huguette Landenberger s’en est allée après un long combat contre la maladie, qu’elle a affrontée avec courage.
A sa famille et à tous ceux que le décès d’Huguette Landenberger laisse dans la peine, La Gruyère présente ses sincères condoléances. GRU

Léa Grandjean

$
0
0
Bulle

Léa Grandjean s’est éteinte paisiblement lundi dans le milieu de l’après-midi, entourée de ses proches. Elle avait 86 ans. Un dernier hommage lui est rendu ce jeudi en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle. Léa Grandjean naquit le 11 avril 1928 à Albeuve dans la grande et belle famille de Séraphine et Eugène Beaud-Gillet. Très tôt, elle partit travailler dans la restauration. Elle y rencontra Claude Grandjean, l’amour de sa vie. Ils s’unirent le 26 juin 1954 et furent dès lors inséparables. Le couple s’installa à La Tour-de-Peilz. Au cours de leur vie, ils déménagèrent encore à Monthey, puis à Albeuve où ils tinrent le magasin d’ali­mentation du village. Dès 1988, ils posèrent leurs valises à Bulle. Léa et Claude Grandjean eurent la joie d’avoir deux enfants. Pour eux, et malgré une vie professionnelle continue, elle déploya des trésors d’amour et d’attention. Le moment venu, les beaux-enfants furent accueillis à bras ouverts. Puis, la vie de Léa Grandjean et de son époux fut égayée par la venue de cinq petits-enfants. Pour eux, elle fut une grand-maman présente, aimante, attentive et «gâteau». Chaque semaine, elle leur en confectionnait un, que son mari devait ensuite aller livrer. Au printemps 2010, ils s’établirent au Foyer de Bouleyres, à Bulle, où son époux décéda en avril de la même année. Elle y reçut l’attention et les bons soins du personnel. Léa Grandjean leur en fut très reconnaissante, tout comme sa famille. Après le décès de son «grand», avec qui elle jouait aux cartes tous les jours, elle eut la grande joie de voir la famille s’agrandir avec l’arrivée de cinq arrière-petits-enfants: Zoé, Gilles, Chloé, Eva et Paul, ses rayons de soleil adorés. Malade depuis une semaine, Léa Grandjean est allée rejoindre son mari et sa nombreuse famille. A ses enfants, à ses proches et à tous ceux que son décès laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Max Romanens

$
0
0
Sorens

A la surprise de tous, Max Romanens s’est éteint dimanche, au Foyer St-Joseph, à Sorens. Il cheminait dans sa 94e année. La cérémonie du dernier adieu s’est tenue hier, en l’église de Sorens. Max vit le jour à Sorens le 3 décembre 1920. Il était le deuxième des six enfants d’Elie et Emma Romanens, née Villoz. Sa scolarité achevée, il suivit les pas de ses parents en se lançant dans la profession d’agriculteur. Une activité qu’il exerça jusqu’en 2012. Il avait alors 92 ans! Dès l’âge de 14 ans et jusqu’en 2002, Max Romanens passa ses étés à la gîte de Praz-Perettaz, sur les hauts du village, avec ses frères. Cet endroit lui était très cher. Dimanche passé encore, il y était, et se réjouissait d’y retourner fêter la bénichon avec sa famille. En 1940, il fit une petite infidélité à son village natal lorsqu’il effectua son école de recrues à Genève, comme tringlot. C’était un souvenir fort pour Max Romanens, qui aimait raconter son enfance et les histoires d’antan. Il s’engagea dans la vie associative, passant plus de vingt ans au Conseil communal, en tant que membre du conseil de surveillance de la caisse Raiffeisen, du chœur d’hommes qui devint chœur mixte, des Armaillis de la Gruyère et des Patoisants de la Gruyè­re. Max Romanens totalisait septante-deux ans de chant et reçut la médaille Bene Merenti. Célibataire et paysan dans l’âme, il est resté sur l’exploitation avec ses frères et sa belle-sœur, puis avec son neveu Elie et sa famille qu’il chérissait plus que tout. Loïc et Noé, ses petits-neveux, furent ses rayons de soleil. En janvier de cette année, ce fut donc difficile pour lui d’entrer au foyer, de ne plus les voir aussi souvent. Le Foyer St-Joseph de Morlon d’abord, avant de pouvoir intégrer, en août, le Foyer St-Joseph de Sorens. Dimanche après-midi, il s’est rendu à la cafétéria et, de retour dans sa chambre, il s’est paisiblement endormi dans les bras d’une infirmière. Elle comme tout le personnel des deux établissements où il fut accueilli l’ont très bien entouré et choyé.
Que sa famille et tous ceux que son décès laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU

Henri Gabriel

$
0
0
Granges

Henri Gabriel s’est éteint à la Maison St-Joseph, à Châtel-St-Denis, le 15 septembre. Un dernier hommage lui a été rendu le 18 septembre. Né le 29 août 1923, Henri était le sixième d’une fratrie de huit enfants. Il partit à l’armée en 1941. Par la suite, il rencontra Lucie, qui devint son épou­se. De cette union naquirent trois enfants, dont un décéda à l’âge de huit mois et un second à trois ans. Henri eut la douleur de perdre son épouse en 1979. En revanche, il eut le bonheur d’être deux fois grand-père et une fois arrière-grand-père. Puis il rencontra Georgette Micheletti, qui fut sa compagne durant trente ans. Henri Gabriel était un homme calme, plein de gentillesse, travailleur, toujours prêt à rendre service. A tous ceux qui pleurent le départ d’Henri Gabriel, nous disons notre sympathie émue. GRU

Adolphe Mesot

$
0
0
Bouloz

Adolphe Mesot s’est éteint dans son sommeil, le 10 septembre, à l’HFR Riaz. Il avait 92 ans. Un dernier hommage lui a été rendu deux jours plus tard, en l’église de Porsel. Adolphe Mesot naquit le 20 novembre 1921 à la ferme du Ferrage, à Bouloz. Fils d’Anna et Jules, il grandit entouré de ses huit frères et sœurs. Il suivit l’école d’agriculture, à Grangeneuve, afin de pouvoir reprendre, un jour, l’exploitation familiale. A l’épo­que, la force de travail provenait des chevaux, une aide précieuse dont il avait gardé un grand et beau souvenir. Il conservait également en mémoire les 500 jours passés sous les drapeaux durant la Mobilisation. Il aimait en parler comme de l’armée en général. En 1950, Adolphe Mesot unit sa destinée à Gabrielle Jacquier. Ils eurent le bonheur d’avoir cinq enfants, rejoints plus tard par 11 petits-enfants et six arrière-petits-enfants. Adolphe Mesot fonda, en 1970, la fanfare de Porsel. Il a toujours apprécié la musique et joué du baryton. Une passion transmise tant à ses enfants qu’à son petit-fils Florian. En 1993, Adolphe Mesot remit l’exploitation à son fils Yves, mais continua de travailler la terre. Même si les forces lui manquèrent ces dernières années, grâce au soutien de son épouse et des soins à domicile, il coula des jours heureux dans sa ferme. Au matin du 10 septembre, après deux jours d’hospitalisation, il quitta les siens. A eux ainsi qu’à tous ceux que le décès d’Adolphe Mesot laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Marius Pasquier

$
0
0
Le Pâquier

Marius Pasquier s’est éteint paisiblement hier, après une longue maladie, dans sa 76e année. Un ultime hommage lui sera rendu vendredi, en l’église de La Tour-de-Trême. Marius vint au monde le 29 mai 1939, au Pâquier. Il était le troisième des cinq enfants d’Ernest et Hermine Pasquier. Après ses écoles effectuées dans son village natal, il entreprit un apprentissage de peintre en bâtiment au sein de l’entreprise de Charles Reumer, à Bulle. Une entreprise qu’il racheta, en 1972, lors du décès de son patron. A son tour, son fils Benoît l’intégra en 1984.
Marius eut en effet la joie d’avoir deux fils, Patrice puis Benoît, avec Thérèse Murith, qu’il épousa en 1961. La famille s’est agrandie avec la naissance de quatre petits-enfants. Durant sa vie au Pâquier, Marius fut très présent au sein des sociétés locales. Il fut membre du chœur mixte L’Amitié – qui l’honora de la médaille Bene Merenti – de la société de développement, de la société de tir L’Arbalète, du ski-club et membre d’honneur des sociétés de musique et de foot. La nature des Préalpes rencontrait son respect et ses plaisirs: la cueillette des champignons, mais aussi la collecte des tommes dans les chalets, en fin de journée, qu’il avait ensuite plaisir à distribuer. Les cartes faisaient également partie de ses hobbies. Depuis six ans, la maladie l’a peu à peu privé de son indépendance et de son autonomie. C’est au Home de l’Intyamon qu’il s’est paisiblement endormi. Sa famille et ses proches garderont le souvenir d’un homme jovial, d’un personnage empli de malice, avec beaucoup d’entregent. Que son épouse, ses enfants, petits-enfants et tous ceux que le décès de Marius Pasquier plonge dans la tristesse reçoivent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU


Alice Jaquet

$
0
0
née Jaquet, Estavannens

Alice Jaquet s’est éteinte mercredi dernier, dans sa 101e année. Un ultime hommage lui sera rendu lundi, en l’église d’Estavannens.
Alice Jaquet est née le 10 février 1914 dans le foyer d’Emile et Félicie Jaquet-Barbey. Elle était la quatrième d’une grande fratrie. Sa maman décéda alors qu’elle n’avait que sept ans. Sa scolarité accomplie au village, Alice a suivi un apprentissage de couturière à Bulle. Par tous les temps, matin et soir, elle faisait le trajet à pied pour aller prendre son train.
Par la suite, elle resta quelques années à la maison pour s’occuper de ses jeunes frères et sœurs avant de partir à Montreux, puis à Lausanne. Elle exerça en terres vaudoises le métier d’employée de maison pendant six ans.
Alice Jaquet retrouva son village natal pour se marier le 2 mai 1942. A la chapelle du Dah, elle épousa l’agriculteur Joseph Jaquet. Quatre enfants sont nés de cette union: Marianne, Gérald, Marianne et Charlotte. L’aînée décéda à l’âge de 18 mois. Alice eut plus tard la joie de choyer cinq petites-filles et six arrière-petits-enfants.
Depuis son mariage, Alice Jaquet vécut à la ferme du Clos-Rouiller. Elle aidait aux travaux de la campagne tout en s’occupant du jardin. Dans le même temps, elle pratiquait son métier de couturière en confectionnant notamment des habits pour ses enfants.
Veuve depuis 1994, elle a toujours habité à la ferme familiale jusqu’en octobre 2012, date à laquelle elle est entrée au Home de l’Intyamon. Malgré des problèmes de vue et d’ouïe, elle jouissait dans ses dernières années d’une bonne santé.
Dans l’établissement de Villars-sous-Mont, elle était de toutes les sorties et de toutes les activités. En plus des parties de cartes avec ses connaissances, elle s’octroyait des moments pour tricoter des couvertures.
Que sa famille et tous ceux que son départ laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sympathie. GRU

Anselme Castella

$
0
0
Albeuve

Anselme Castella est décédé dans la nuit de vendredi à samedi au Home de l’Intyamon, à Villars-sous-Mont. Il avait 83 ans. Un dernier hommage lui sera rendu ce mercredi, en l’église d’Al­beu­ve. Anselme naquit le 13 avril 1931, à Albeuve, dans le foyer d’Alexis et Elise Castella. Il était le cinquième d’une fratrie de neuf enfants. Il suivit sa scolarité entre l’école de son village natal et celle de Vuisternens-devant-Romont, où il vécut durant trois ans. Jusqu’en 1969, Anselme travailla à la fabrication de meubles comme polisseur, puis com­me machiniste. Il consacra ensuite tout son temps à l’élevage bovin, en compagnie de son frère Georges. Tous deux restés célibataires, ils vivaient ensemble. Anselme aimait traire ses vaches et conduire son tracteur. Il s’intéressait aussi aux croisements. Voilà une dizaine d’années, les deux frères remirent l’exploitation à leur neveu et emménagèrent dans un appartement toujours à Albeuve. Membre fondateur de la Société de musique d’Albeuve, il joua de l’alto et du trombone. D’un caractère bien affirmé, il n’aimait pas qu’on le contredise, il n’aimait pas beaucoup sortir non plus. Sauf avec ses contemporains. Anselme fut hospitalisé le jour de l’enterrement de son frère Georges, en décembre 2013. Après un mois passé à l’HFR Riaz pour des ennuis respiratoires – la cigarette était son péché mignon ­– et une grande faiblesse, il rejoignit le Home de l’Intyamon à Villars-sous-Mont, où il s’éteignit huit mois plus tard. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès d’Anselme Castella laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Marthe Gex

$
0
0
née Ecoffey, Bulle

Marthe Gex est partie sous d’autres cieux dimanche. Elle avait 90 ans. Un dernier hommage lui sera rendu ce mercredi en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle. Elle vit le jour le 28 février 1924, dans le foyer de Pierre-André et Marie-Françoise Ecoffey-Bulliard, à Rueyres-Treyfayes. A cette époque, la vie était très dure. Petite déjà, elle ne recula jamais, bien au contraire. Elle suivit son parcours sans rechigner, avec la volonté de toujours bien faire son travail à la campagne, avec ses onze frères et sœurs. Elle se maria le 10 juin 1946 avec André Gex, distillateur. De ce mariage naquirent cinq enfants. Marthe fut une mère pleine de dévouement et d’attention. Sa grande tristesse fut de perdre son unique fille, Elisabeth, en 1954, alors qu’elle avait 4 ans. Elle travailla comme sommelière au Café du Tirage et au Café de l’Union, à Bulle, et allait souvent comme extra à Vuisternens-devant-Romont. Ses différents employeurs l’appréciaient beaucoup. Elle fit aussi parti des samaritains. L’été venu, Marthe aimait passer les vacances avec son époux et ses enfants dans leur petit chalet, situé au Riau-Berthoud. Elle participa à de nombreux pèlerinages à Lourdes et en Italie. Elle accueillit avec une grande joie sa petite-fille Magalie. Sa santé déclina au fil des ans et le Foyer St-Germain, à Gruyères, fut son ultime demeure. Elle profita là-bas d’un repos mérité et des bons soins d’un personnel dévoué. Tous ceux qui l’ont connue garderont en souvenir sa gentillesse et son respect des autres. A eux et à tous ceux que le décès de Marthe Gex laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Charlotte Jaquet

$
0
0
née Gremion, Broc

Aujourd’hui, en l’église de Broc, parents, amis et connaissances viendront escorter Charlotte Jaquet pour son dernier voyage. Elle avait 84 ans. Charlotte vit le jour le 25 septembre 1930, avec sa sœur jumelle Georgette, dans le foyer de Louis et Victorine Gremion. La famille, qui demeurait au Pont, à Epagny, comptait encore deux autres filles. Trop rapidement, le décès de la maman sépara les jumelles. Charlotte commença ses classes à Gruyères avant que, à l’âge de 12 ans, une grave maladie ne la contraigne à un séjour de deux ans en sanatorium.
Ses écoles terminées, elle proposa ses services dans diverses familles à la campagne, puis travailla de nombreuses années à l’atelier de couture Courlet, à Gruyères, tout en prenant soin de sa sœur cadette souffrante. Elle fit plus tard la connaissance de Simon Jaquet, d’Estavannens, qui allait devenir son époux en 1960. Le couple vécut quelques années à Bulle, avant de rejoindre Broc. Après une vie de labeur, Charlotte connut de récurrents ennuis de santé. Son mari décéda en 2010, et elle ne fut bientôt plus en mesure de mener une vie indépendante. Elle put compter sur le dévouement inlassable de sa sœur Georgette, mais dut néanmoins se résoudre à entrer au foyer de La Rose des Vents, où elle fut bien entourée. C’est là quelle ferma les yeux pour la dernière fois en ce vendredi 10 octobre. A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le décès de Charlotte Jaquet laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Serge Menoud

$
0
0
Bulle

Serge Menoud s’est éteint dans la matinée de lundi, au Foyer St-Germain, à Gruyères. Il venait de fêter son 65e anniversaire. Un dernier hommage lui sera rendu ce jeudi, en l’église Saint-Pierre-aux-Liens, à Bulle. Né le 7 octobre 1949, à Bulle, dans le foyer de Joseph et Marthe Menoud-Guillaume, Serge grandit entouré de son frère Roland et de sa sœur Odette. Il suivit sa scolarité à Semsales, puis à Sâles. C’est dans ce village que, plus tard, il a fondé, avec d’autres amis, le club de foot, dont il était membre d’honneur. Serge a eu un enfant, Bernard, puis a été à deux reprises grand-papa. Sa vie n’a pas toujours été facile et, depuis de nombreuses années, il rencontrait des problèmes de santé. Ces derniers l’obligèrent à rentrer jeune au Foyer St-Joseph, à Morlon, où il a été particulièrement bien entouré et où il avait plaisir à jouer aux cartes avec les résidents. A la suite de nouveaux soucis de santé, Serge dut rejoindre, au début de cette année, le Foyer St-Germain, à Gruyères. A sa famille, à ses proches et à ceux que le décès de Serge Menoud laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Rosa Borcard

$
0
0
née Fracheboud, Grandvillard

Rosa Borcard s’est éteinte dans la matinée du 13 octobre, alors qu’elle cheminait dans sa 90e année. Un dernier hommage lui sera rendu demain en l’église de Grandvillard. Rosa vit le jour à Semsales le 27 décembre 1924, dans une famille d’agriculteurs. Par la suite, avec ses parents Jules et Julia Fracheboud, elle déménagea à Lessoc où elle passa son enfance et sa jeunesse. Très tôt, elle dut s’occuper de ses frères et sœurs et participer aux durs travaux de la campagne. C’est en allant aider son frère, boulanger à Grandvillard, qu’elle rencontra celui qui deviendra son époux, Marc Borcard dit «Marc à Marc». Ils se marièrent le 25 février 1946 et s’établirent dans ce village. De cette union naquirent cinq enfants. Plus tard, elle eut le bonheur de choyer 13 petits-enfants et 10 arrière-petits-enfants. Sa famille était tout pour elle: Rosa voulait que chacun soit au mieux, la visite des siens était toujours un grand moment de joie et de partage. Pour élever cette grande famille, elle ne compta ni son temps ni son énergie et travailla beaucoup pour épauler son mari, surtout les étés à l’alpage, à Motélon, puis aux Cressets, à Grandvillard. Aucun travail ne lui faisait peur. Son secret, c’était la fabrication des tommes de chèvre – succulentes, au dire de nombreuses personnes qui venaient se ravitailler au chalet – ou sa fameuse soupe de chalet. Femme discrète mais d’un bon caractère, elle n’aimait pas l’injustice. Elle aimait donner, sans recevoir en retour. Sa porte était toujours ouverte. La vieillesse arrivant, elle eut plus de temps pour s’occuper de son jardin. Elle appréciait beaucoup que les gens s’arrêtent devant sa maison pour discuter, et les enfants recevaient toujours un chocolat. Rosa s’intéressait à l’actualité, aux débats et aux sports à la télévision, notamment le ski alpin. Elle avait aussi à cœur d’aller encourager ses enfants dans des compétitions sportives. Les parties de cartes étaient son passe-temps favori. Il y a un peu plus d’une année, la maladie s’est déclarée. Elle dut se résigner, il y a deux mois, à entrer à l’hôpital de Riaz, puis au Service des soins palliatifs de l’HFR Fribourg, où elle a été admirablement entourée. Rosa laisse un grand vide autour d’elle. La Gruyère exprime sa vive sympathie à sa famille et à tous ceux que son départ laisse dans la peine. GRU

Rose Esseiva

$
0
0
née Charrière, Bulle

Rose Esseiva est décédée le 12 octobre à l’âge de 90 ans. Elle s’est endormie paisiblement entourée de sa famille. Un dernier hommage lui a été rendu mercredi en l’église du Crêt. Rose a vu le jour le 30 juillet 1924 à Avry-devant-Pont, dans la ferme de Joseph et Philomène Charrière-Demierre. Rose était la neuvième d’une fratrie de dix enfants. En 1934, la famille quitta le village gruérien pour s’établir au Crêt, à la ferme du Sapaley. C’est là que Rose rencontra Firmin Esseiva, qui devient son époux en 1947. De leur union sont nés quatre enfants. L’un deux, Michel, est décédé tragiquement en 1962, dans un accident de luge. En 1989, Rose a également eu le chagrin de perdre son mari. Elle s’installa à Bulle en 1990. Elle et sa sœur Jeanne se voyaient presque chaque jour pour manger ensemble ou partager un bon moment. Elles eurent également l’occasion de faire des petits voyages ou pèlerinages. Rose avait de nombreuses amies avec qui elle aimait jouer aux cartes. En janvier 2013, à la suite d’une chute dans son appartement, elle fut hospitalisée quelques mois avant de rejoindre la Maison St-Joseph, à Châtel-St-Denis, où elle fut très bien entourée par le personnel et sa fille Joëlle notamment. Un de ses derniers plaisirs fut de passer quelques jours en septembre à Rolle, avec plusieurs résidents du home. Rose Esseiva avait la joie d’être chérie par ses enfants, ses 6 petits-enfants et 11 arrière-petits-enfants. A tous ceux qui pleurent son départ, nous adressons nos sincères condoléances. GRU


Louis Bosson

$
0
0
Bulle

Louis Bosson est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à l’Hôpital cantonal de Fribourg. Il avait 85 ans. Un dernier hommage lui sera rendu demain vendredi en l’église St-Pierre-aux-Liens, à Bulle. Louis est né le 13 août 1930 à Bossonnens, dans le foyer d’Antoine et de Séraphine Bosson-Pesse. Il était l’aîné d’une fratrie de quatre enfants. Après sa scolarité, suivie à Bossonnens, il fut chauffeur-livreur chez Vinandy et Usego, à Lausanne. C’est dans le cadre de son travail qu’il rencontra Marie Wülser, avec qui il se maria le 22 juin 1954, à Lausanne. Deux enfants naquirent de cette union, Marylise et Christiane. Le couple construisit alors le garage Migrol, à Bulle. Secondé par son épouse, Louis Bosson exerça le métier de garagiste avec beaucoup de passion. Le 4 novembre 1977, la famille connut un drame. L’aînée des filles décéda dans un accident de voiture. Louis Bosson cessa son activité de garagiste et alla habiter dans une maison, à Bulle toujours. C’est alors qu’il éleva, avec son épouse, ses deux petites-filles Nathalie et Emmanuelle. Depuis une année, il avait beaucoup de bonheur à choyer son arrière-petit-fils, Théo. A la suite d’un AVC, sa santé se dégrada vite, en quelques jours, et il fut hospitalisé à Fribourg, où il s’éteignit. Que son épouse, sa famille, ses proches et tous ceux que le décès de Louis Bosson laisse dans la peine trouvent ici l’expression de notre sincère sympathie. GRU

Cécile Forster

$
0
0
Cottens

Cécile Forster est née le 1er décembre 1929, à Vuadens. Elle était la cinquième des huit enfants de Sophie et Joseph Gremaud, agriculteurs. En raison de la surcharge de travail à la ferme durant la belle saison qui suivit sa naissance, elle fut confiée à son oncle et à sa tante, Julien et Cécile Pittet. Elle vécut chez ce couple jusqu’à son mariage avec Pierre Forster, en 1951. Cécile a eu le bonheur de mettre au monde six enfants et leur a transmis l’amour de la nature et de la montagne. Sa vie a été faite de dévouement à sa famille, ponctuée de moments de joie intense, mais aussi de nombreux drames. Il y a eu d’abord la mort accidentelle de sa dernière fille, Martine, tuée sur la route à l’âge de cinq ans. Puis celle de son petit-fils, Vincent, qui a perdu la vie à 22 ans dans un accident de moto. Son beau-fils Urs et son mari sont décédés tous deux d’une crise cardiaque il y a huit ans. Un petit-fils n’a vécu que deux mois et un arrière-petit-fils quelques jours seulement. Ces décès l’ont beaucoup affectée. Cécile a aussi dû faire face à une longue série de problèmes de santé et à une dégradation physique qui l’ont amenée à terminer sa vie en chaise roulante, à la Résidence St-Martin, à Cottens. Là, bien que son cœur soit toujours resté attaché à sa Gruyère natale, elle a passé les cinq dernières années de sa vie dans un cadre aimant et bienveillant. Ce dimanche 19 octobre, elle ne s’est pas réveillée de sa sieste journalière. A tous ceux qui pleurent la disparition de Cécile Forster, nous disons notre sympathie émue. GRU

Lina Tercier

$
0
0
née Magliocco, La Tour-de-Trême

Lina est née le 11 janvier 1930 à Varzo (Italie), dans le foyer de Giuseppe et Onorata Magliocco-Molini. Elle était la cinquième d’une fratrie de 12 enfants. Elle quitta l’Italie en 1948 pour venir à Bulle, chez son oncle, qui avait un magasin de textiles. L’année suivante, elle travailla à Charmey où elle fit la connaissance de Marcel, qui devint son époux en 1950. De cette union naquirent cinq enfants: Ernest, Anne-Marie, Georgette, Anne-Marie et René. Lina a eu la joie de voir sa famille s’agrandir avec l’arrivée de neuf petits-enfants et cinq arrière-petits-enfants. Mais elle ne fut pas épargnée par les épreuves. Ainsi, elle perdit son époux en février 2013, ainsi que trois de ses enfants et deux de ses petits-enfants. Elle quitta Charmey en 1956 pour s’installer à Vuadens, mais, à la construction de l’autoroute, elle dut quitter son logement et elle s’installa à La Tour-de-Trême. Durant la belle saison, elle gardait le bétail sur les alpages fribourgeois. Elle et son mari aimaient aller danser dans les bals, mais la maladie vint ensuite l’en empêcher. Durant toute son existence, elle s’occupa de sa maison, des lapins, des poules, mais aussi de son jardin. Après une chute dans sa cuisine en 2013, elle dut être hospitalisée à plusieurs reprises et sa santé s’en trouva affaiblie. Vendredi dernier, elle subit une nouvelle opération, mais des complications changèrent le cours de son destin. Elle s’est éteinte lundi matin, entourée de sa famille. A celle-ci et à tous ceux qui pleurent le départ de Lina Tercier, La Gruyère adresse ses sincères condoléances. GRU

Angèle Castella

$
0
0
née Pythoud, Albeuve

Angèle Castella s’est endormie dans la nuit de lundi, entourée de l’amour de sa famille, à l’HFR Riaz. Elle avait 75 ans. Un dernier hommage lui sera rendu aujourd’hui jeudi, en l’église d’Albeuve.
Angèle a vu le jour le 10 août 1939 dans le foyer de Louis et Joséphine Pythoud. Elle était la onzième d’une fratrie de douze enfants. Un mois après sa naissance, Angèle, emmaillotée, montait déjà à l’alpage. Elle passa tous ses étés au chalet de l’Ecosalla. Des années qui lui donnèrent l’amour de la montagne qu’elle transmit, plus tard, à toute sa famille.
Sa scolarité accomplie, Angèle travailla comme tailleuse dans une usine de Neirivue jusqu’à son mariage. Elle épousa Stanis Castella le 1er mai 1965. Le couple resta à Albeuve et y construisit sa propre maison. Naquirent bientôt six enfants. Huit petits-enfants et quatre petits-enfants de cœur vinrent ensuite agrandir la famille.
Sa grande passion a été le chant. Elle fut membre fondateur de la Cécilienne d’Albeuve, dans laquelle elle chanta durant vingt-neuf ans. Elle communiqua sa passion à ses enfants: cinq d’entre eux, et son mari, chantent encore dans ce chœur.
Angèle prenait plaisir à se promener en montagne. Cuisinière hors pair, elle aimait recevoir chez elle ses enfants et sa famille. Elle chérissait profondément ses petits-enfants et appréciait de réunir tout son monde au chalet des Turquibaud, qu’elle aurait voulu ne jamais quitter.
Très croyante, sa foi la guida durant toute sa vie. Elle officia à la sacristie durant dix ans ainsi que comme ministre auxiliaire de la communion. Elle s’occupa aussi de l’entretien de l’église. L’une de ses grandes fiertés fut de pouvoir rencontrer le pape Jean Paul II lors de l’assermentation de son fils en tant que garde pontifical. A cette occasion, elle offrit au souverain pontife un paquet de ses fameux bricelets.
Elle voyagea à de nombreuses reprises à Rome: pour son voyage de noces, puis pour voir son fils ou, en 2006, lors du 500e anniversaire de la création de la Garde suisse.
Hospitalisée voilà un mois, Angèle supporta la dernière épreuve que lui imposa la maladie avec courage et dignité.
A son époux, à sa famille et à tous ceux que le décès d’Angèle Castella laisse dans la peine, La Gruyère dit toute sa sympathie. GRU

Michel Droux

$
0
0
La Joux

Michel Droux s’en est allé subitement samedi 11 octobre. Il avait 72 ans. Une foule nombreuse lui a rendu un dernier hommage mercredi 15 octobre, en l’église de La Joux.
Michel est né le 8 août 1942 à La Joux, dans la famille de Romain et Jeanne Droux-Pittet. Il passa son enfance dans son village natal, entouré de ses huit frères et sœurs.
A l’âge de 18 ans, il eut la douleur de perdre sa mère. Avec son père et les plus jeunes de la fratrie, il déménagea alors à Bionnens. Mais la famille vint s’établir à la ferme du Carro, à La Joux, dans les années septante. Michel reprit alors ce domaine, pour lequel il donna le meilleur de lui, tout au long de sa vie. Il transmit cette ardeur à son fils Marc.
Chanteur invétéré, Michel fit partie de nombreuses formations chorales, notamment du chœur mixte de La Joux, de la Chanson du pays de Gruyère et dernièrement des Dzoyà, de Marsens.
Homme de la terre, il sillonnait régulièrement les alpages afin de rendre visite à ses amis armaillis. Il aimait aussi parcourir les sommets, particulièrement dans la région des Marindes et de Bounavaux. Ses trois enfants,
Annelyse, Marc et Hervé, ainsi que ses sept petits-enfants, ont découvert la montagne grâce à lui. Michel était un excellent danseur. Il se rendait régulièrement au Pafuet et dans les bals de campagne. Les cartes étaient son passe-temps favori, jamais il ne refusait une partie de chibre. Michel était aussi très attaché à sa famille, qu’il aimait réunir dans la ferme familiale, par exemple lors de la bénichon. De contact facile, il trouvait toujours un mot pour rire, avec sa pipe au coin des lèvres.
Michel Droux est décédé brutalement des suites d’un malaise cardiaque, alors qu’il visitait la foire aux cloches de Romainmôtier, une autre de ses passions. A ses enfants, à ses petits-enfants, à sa famille et à tous ceux que son départ laisse dans la peine, La Gruyère dit sa profonde sympathie. GRU 

Viewing all 1689 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>